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Union africaine : La cause du Burkina Faso entendue à l'issue des concertations entre le ministre Rouamba et le président Moussa Faki Mahamat

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Son Excellence Madame Olivia Ragnaghnewendé ROUAMBA, Ministre des Affaires étrangères, de la coopération régionale et des Burkinabè de l'extérieur, a été reçue en audience au siège de l'Union africaine ce matin 12 juillet, par Son Excellence Monsieur Moussa Faki MAHAMAT, Président de la Commission de l'Union africaine.

A l'entame de échanges, le ministre ROUAMBA a fait au Président Faki , le point des négociations avec la Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) qui ont permis à ce jour, de parvenir d'une part au choix d'un médiateur pour le Burkina Fao en la personne de S.E Monsieur Mahamadou Issoufou, ancien Président de la République du Niger et d'autre part à un « compromis dynamique » sur le délai de la transition, établi à vingt et quatre (24) mois pour compter du 1er juillet 2022. Elle s'est réjouie de ces résultats qui ont permis d'éviter de lourdes sanctions économiques au Burkina Faso.

Son excellence Madame Olivia Ragnaghnewendé ROUAMBA a ensuite évoqué les mesures prises pour lutter efficacement contre le terrorisme et l'extrémisme violent par la création de zones d'intérêt militaire, le recrutement de nouvelles forces de défense et de sécurité, les mécanismes de promotion de la cohésion sociale grâce au triptyque : désarmement-démobilisation- réinsertion des membres des groupes armés terroristes (G.A.T).
Elle a salué l'engagement de la CEDEAO à accompagner le Burkina Faso et plaider pour un soutien de l'Union africaine aux populations déplacées et pour une transition réussie au Burkina Faso.

En réaction, le Président la Commission de l'Union africaine a félicité Son excellence Madame Olivia Ragnaghnewendé ROUAMBA pour sa nomination en tant que Ministre des Affaires étrangères, de la coopération régionale et des Burkinabè de l'extérieur et relevé l'importance que le Burkina Faso joue dans la construction de l'Organisation continentale depuis sa création.

Il a indiqué que l'Union africaine est consciente des difficultés que le Burkina Faso traverse et des sacrifices que le peuple ainsi que les forces de défenses et de sécurité burkinabè consentent. Il a également salué les initiatives de la CEDEAO qui concourent à la réalisation des objectifs de l'Union. Le Président la Commission de l'Union africaine s'est engagéà se rendre au Burkina Faso après la visite d'évaluation que le Commissaire aux affaires politiques, paix et sécurité y effectuera courant août 2022.

Il a promis que l'Union africaine apportera son soutien au Burkina Faso aussi bien pour le renforcement des forces de défense et de sécurité, l'organisation des futures élections, la réconciliation, l'appui au secteur humanitaire et alimentaire et un accompagnement sur tout autre besoin qui pourrait contribuer à aider les populations et soutenir la transition pour un retour à une vie constitutionnelle normale. En outre, il a estimé que le terrorisme et l'extrémisme violent sont aujourd'hui une préoccupation majeure pour les pays de la CEDEAO et l'impératif face au péril est de travailler en synergie pour trouver des solutions concertées et endogènes.

Les échanges entre les deux personnalités ont également porté sur certaines préoccupations liées à la suspension du Burkina Faso des activités de l'Union africaine notamment les recrutements des citoyens burkinabè dans certains emplois techniques au sein de l'organisation et la participation des experts du Burkina Faso aux travaux de l'Union Africaine.

Sur la question de l'accès des Burkinabè aux emplois techniques, le Président de la Commission indique, il suggère que le Chargé d'affaires du Burkina Faso prenne attache avec le Bureau du Conseiller juridique pour avoir plus de précisions. Quant à la participation des experts aux travaux des instances de l'Union africaine, le Président de la Commission estime que cela ne pourrait intervenir qu'après la levée des sanctions qui pèsent sur le Burkina Faso.

Les deux personnalités se sont quittées sur une perspective de collaboration mutuelle pour le retour de la paix et de l'ordre constitutionnel au Burkina Faso.

Amadou ARDHO DICKO
Attaché de Presse à l'Ambassade Mission Permanente du Burkina Faso à Addis-Abeba


Droit des enfants : Le Conseil national du patronat burkinabè renforce les capacités des formateurs des organisations patronales

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Le Conseil national du patronat burkinabè (CNPB) organise un atelier de formation des formateurs des organisations patronales sur la problématique du travail des enfants et du travail forcé dans les chaînes de valeur du coton, du textile et de l'habillement. Ouvert ce mardi 12 juillet 2022 sous la présidence du vice-président chargé du dialogue social du Conseil national du patronat burkinabè, représentant le président, les travaux se poursuivent jusqu'au 15 de ce mois.

Au Burkina Faso, la problématique du travail des enfants se trouve dans la quasi-totalité des secteurs d'activités du pays, en particulier dans le secteur de l'agriculture qui fait partie des plus grands secteurs utilisateurs de la main-d'œuvre enfantine. Pourtant, le recours au travail des enfants dans un secteur d'activité peut ternir l'image des entreprises qui interviennent dans ce secteur, causant du coup des difficultés d'accès au marché international et donc de l'écoulement de leur production, selon le vice-président chargé du dialogue social du Conseil national du patronat burkinabè (CNPB), Harouna Toguyeni.

De ce fait, une attention particulière doit être accordée à ce phénomène, ne serait-ce qu'en termes de prévention, vu que l'élimination du travail forcé fait également partie des principes et droits fondamentaux au travail. S'inscrivant dans cette dynamique, le CNPB a procédé, avec l'appui technique et financier du projet Clear Cotton, à l'élaboration d'un manuel de formation des formateurs des organisations patronales sur le travail des enfants et le travail forcé.

Afin de renforcer les capacités de ces formateurs, un atelier de formation de quatre jours a été initiéà leur endroit. Pour M. Toguyeni, les retombées d'une formation de qualité au profit des formateurs n'est plus à démontrer. A l'en croire, elle contribuera de manière efficace à vulgariser les bonnes pratiques auprès des entrepreneurs du secteur privé et à terme à l'essor d'actions pertinentes pour arrêter le travail des enfants et le travail forcé dans les districts et communautés productrices de coton.

Et plus généralement au sein de l'ensemble de la chaîne de valeur du coton, du textile et de l'habillement. Pour y parvenir, il a exhorté les participants à l'assiduité et à la ponctualité afin qu'au sortir de cette session, ils soient des experts de leurs entreprises et organisations sectorielles respectives sur la problématique du travail des enfants et le travail forcé dans la chaîne de valeur du coton, textile et de l'habillement.

Cette activité s'inscrit dans le cadre du projet « Clear cotton », cofinancé par l'Union européenne et mis en oeuvre par la FAO et l'OIT en collaboration avec des partenaires nationaux au Burkina Faso, au Mali, au Pakistan et au Pérou. Le projet, selon la représentante du directeur du bureau pays de l'OIT, Kadidia Ouédraogo, vise un double objectif : contribuer au renforcement et à l'application du cadre législatif et réglementaire de lutte contre ces deux phénomènes tout en encourageant les parties prenantes notamment au niveau des zones productrices de coton à mettre en œuvre des mesures concrètes afin d'éradiquer ces phénomènes.

Dans son propos, elle a clarifié le concept du « travail des enfants », parce que toutes les tâches exécutées par des enfants ne sont pas considérées comme du travail des enfants qui doit être éliminé. « Le concept du travail des enfants auquel nous faisons référence est défini comme un travail qui prive les enfants de leur enfance, de leur potentiel et de leur dignité, et qui nuit à leur développement physique et mental », a expliqué Mme Ouédraogo.

Au cours des travaux, l'expert en matière de lutte contre le travail des enfants, Alassane Traoré, va revenir plus en détails sur les différents modules contenus dans le manuel de formation des formateurs qui a été conçu. Il s'agit, entre autres, des connaissances générales sur le travail des enfants et le travail forcé, du cadre juridique, du rôle des organisations patronales en matière de lutte contre ces phénomènes. « Nous n'allons pas passer sous silence des aspects tels que les raisons pour lesquelles il est impérieux que les employeurs s'intéressent à la lutte contre le travail des enfants et le travail forcé», ajoute l'expert en matière de lutte contre le travail des enfants, tout en insistant sur le rôle des organisations professionnelles membres de la chaîne de valeur du coton, du textile et de l'habillement.

Ce role est de fournir des informations sur le travail des enfants et du travail forcéà leur affiliés ; de sensibiliser le grand public et les acteurs de la chaîne de valeur du coton ; de réaliser et de mettre en oeuvre un programme cohérent de lutte contre le travail des enfants et le travail forcé et de faire du lobbying pour influencer les différentes politiques socioéconomiques qui ont un lien avec la question du travail des enfants et du travail forcé.

« Cela peut se faire à travers leur participation directe à la conception, à la mise en œuvre et à l'évaluation de ces politiques et référentiels. Cela peut aussi se faire dans le cadre des mécanismes de contrôle que l'OIT met à leur disposition », a indiqué M. Traoré. A l'issue de cet atelier, une série d'ateliers régionaux de formation des représentants des organisations patronales seront organisés dans quatre régions administratives du pays. Il s'agit du Centre-ouest (Koudougou), des Hauts-Bassins (Bobo-Dioulasso), des Cascades (Banfora), du Centre-sud (Manga).

Au terme de ces sessions de formation, les résultats suivants sont attendus : les participants comprennent mieux les concepts liés au travail des enfants et au travail forcé ; ils savent reconnaître les travaux interdits aux enfants et les situations de travail forcé ; ils ont une vue d'ensemble des normes relatives au travail de enfants et au travail forcé. Enfin, le rôle des organisations patronales dans la lutte contre le travail des enfants et le travail forcé est maîtrisé par les participants.

Aïssata Laure G. Sidibé
Lefaso.net

Promotion de l'agroécologie au Burkina : Des acteurs du projet bocage sahélien à l'heure de l'évaluation trois ans après

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Dans le cadre de la promotion de l'agroécologie au Burkina Faso, l'ONG Terre verte en partenariat avec le GRET, l'Association zoramb naagtaaba (AZN), la Trame/Ciné Yam et l'Institut de recherche et de développement (IRD) ont mis en œuvre le projet bocage sahélien. Trois ans après la mise en œuvre de ce projet, les acteurs se sont réunis ce mardi 12 juillet 2022 à Ouagadougou au cours d'un atelier pour présenter les résultats des travaux d'évaluation des effets et des conditions de développement de l'agroécologie en vue d'une meilleure capitalisation des bonnes pratiques.

C'est en réponse aux effets du changement climatique avec son corolaire de dégradation du milieu rural sahélien que le Projet d'appui à la transition agroécologique en Afrique de l'Ouest-le bocage sahélien en partage (PATAE-BSP) a été lancé le 3 juillet 2019 au Burkina Faso.

Le projet vise à lutter contre la pauvreté des populations vulnérables, améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et renforcer la résilience des exploitations familiales face aux effets des changements climatiques et leurs conséquences. Substantiellement, le projet vise à renforcer la souveraineté alimentaire des familles paysannes sahéliennes par un système agricole et pastoral novateur résolument engagée dans la transition agroécologique à grande échelle.

Le chargé du projet agroécologie du GRET, Manéré Paul Ouédraogo s'est réjoui des résultats du projet

Selon le chargé du projet agroécologie du GRET, Manéré Paul Ouédraogo, l'embocagement de l'espace rural et l'amélioration des systèmes de cultures, à travers des pratiques agroécologiques, permettent d'atteindre, dans un cadre aménagé, sécurisé et pérenne, une sécurité alimentaire durable pour les familles rurales impliquées. Comme acquis, le projet a concerné les régions du Plateau central, du Nord et du Centre-nord a-t-il confié. 530 familles dont 5300 personnes, dans 34 villages situés dans sept communes et quatre provinces de ces trois régions ont bénéficié du projet soit un total de 61 000 personnes, a-t-il indiqué.

Le représentant du ministre de l'agriculture, Karim Konseibo a salué l'initiative. « Ce projet est une réponse à la question majeure de l'évaluation des effets et des conditions de développement de l'agroécologie dans notre pays. Il a aussi permis de mener une capitalisation relative à l'expérience de bocages sahéliens et de réaliser des films didactiques pour les transmissions et le partage des pratiques d'agroécologie bocagère » a-t-il indiqué.

Le représentant du ministre Karim Konseibo a salué l'initiative

Pour le président de l'ONG Terre verte, Henri Girard, le bocage sahélien existe depuis plus de 30 ans. Ce cadre d'échanges, dit-il, permettra d'évaluer une capitalisation de tout ce qui a été fait durant ces 30 ans.
Des films sur le périmètre bocager, la démarche de l'évaluation socio-économique, l'évaluation de la santé et entre autres seront diffusés au cours de cet atelier.
Lancé en juillet 2019, le projet est arrivéà son terme le 30 juin 2022. Il a été financé par l'Agence française de développement (AFD) à travers la CEDEAO à hauteur de 875.798 soit près de 600 millions de francs cfa.

S.I.K (stagiaire)
Lefaso.net

Décès de COMPAORE Mahamadou Moh : Remerciements

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Les grandes familles : COMPAORE Todara Amadou, DIEBRE, GOUEM, BANCE, SINKA à Niaogho et Bobo Dioulasso ;
Les familles alliées : AOUBA, DIAKITE, ZIO, KONE, KONATE, YAGO, NAPON, NIGNAN, NACRO, SALIA, DIASSO à Léo, à Ouagadougou, à Bobo Dioulasso, en France, en Belgique, en Suisse ;

Les sœurs : Mominata épouse BOYARM, Kadiatou épouse BARRO, Aissatou épouse BAZIE, Awa épouse SAMANDOULOUGOU, Aminata épouse KEITA, Kizimbo épouse SINON, Hatou épouse OUEDRAOGO, Damata épouse BANGAGNE, Fatoucha épouse TIEGNA ;

Les frères : Ousmane, Boubacar, Yahaya, Yoro, Salif, Issa, Abdoulaye, Moumouni, Malan, Souleymane, grand Issa, petit Ousmane, TALL Moctar et son épouse, Maria BARRY, SANFO Zakaria et son épouse Patricia, SANOGO Abou et son épouse Mariam, TANKOANO Mathias et son épouse Sandrine ;
La veuve COMPAORE/AOUBA Zaliatou,

Les enfants : Amadou Dim-Kietta, Madani Daddy ;
Les nièces et neveux : à Ouagadougou, à Bobo Dioulasso, au Niger, au Maroc, en France, aux Etats-Unis ;

Réitèrent leur profonde reconnaissance et leur pleine gratitude à tous pour les multiples soutiens moral, spirituel, financier, matériel, et surtout votre présence à leur côté lors du rappel à DIEU le mardi 14 juin et de l'inhumation le vendredi 17 juin 2022 de leur fils, frère, époux, père, oncle COMPAORE Mahamadou Moh Economiste ;

Leurs remerciements vont particulièrement :
Aux amis de Moh ;
Aux dirigeants et au personnel de la société AFRIQUE LOGISTIQUE (AFRIQUE LOG) ;
Au Bâtonnier de l'ordre des avocats, aux anciens Bâtonniers, aux membres du conseil de l'ordre, à l'ensemble des avocats du barreau du Burkina Faso, aux avocats du Mali, du Niger et de la Guinée Conakry ;

Aux Présidents des Cours et Tribunaux, aux magistrats et aux personnels judiciaires ;
Aux huissiers, aux notaires ;
Aux anciens collègues de groupement Naam, du corps de la paix, de la société minière ;

Aux délégations de Bobo Dioulasso, Boromo, Tansarga, Niaogho, Léo ;
A l'imam et aux voisins du quartier de la Patte d'Oie à Ouagadougou et d'Accart Ville à Bobo Dioulasso.
Qu'Allah l'accueille dans son royaume et lui accorde son infinie grâce et qu'il récompense chacun au centuple de ses bienfaits.

Décès de KABORE Ousmane dit TOSTAO : Remerciements et Faire part

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Sa Majesté le chef de Manghin (Mogtédo),
Les grandes familles KABORE, OUEDRAOGO à Ouagadougou,
La grande famille KOFFI à Yamoussoukro (Cote d'ivoire),
La grande famille BANGRE à Tenkodogo et à Ouagadougou,

Les familles alliées OUEDRAOGO, BARAS, SAWADOGO à Ouagadougou et aux USA,
Monsieur Seydou DIAKITE, Consul Honoraire de Monaco et sa famille à Ouagadougou,

Maman Zarata KABORE née BANGRE et ses enfants : Mme OUEDRAOGO Safiatou à la DMP/MARAH, Mme BARAS Mamounata à l'ANAC, KABORE Alpha Abdoul Aziz et Mme SAWADOGO Aicha Farida,
Les petits enfants : Christian, Ivan, Ianisse, Mael, Pascale, Emma, Djamel, Alia, Amjad et Medine,

Remercient particulièrement la grande famille du protocole d'Etat, l'ensemble du personnel de Raynal Assurance, de l'ANAC, de la GIB CACI-B , du MARAH,
Ainsi que la communauté musulmane de Tanghin, les parents, les amis et connaissances, les hommes, les femmes et les jeunes de tanghin pour leur soutien moral et financier lors de la maladie et du décès de leur époux, frère, père, beau-père, grand-père, monsieur

KABORE Ousmane dit TOSTAO

survenu à Ouagadougou le lundi 04 Juillet 2022 à l'âge de 68 ans.
Ils se gardent de citer des noms de peur d'en oublier. Que Le Tout-Puissant récompense chacun au centuple de ses bienfaits.

Ils vous informent par ailleurs que le grand doua est prévu pour le 17/07/2022 à 8 heures à son domicile à Ouagadougou, sise au quartier tanghin.

Paix à l'âme du disparu

Arrestation de 49 militaires ivoiriens au Mali : Les autorités ivoiriennes demandent leur libération "sans délai"

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Le Conseil national de sécurité de la Côte d'Ivoire demande aux autorités maliennes de libérer, sans délai, les militaires "injustement" arrêtés, dans ce communiqué. Cette décision fait suite à la tenue d'une réunion extraordinaire ce mardi 12 juillet 2022, du Conseil national de sécurité ivoirienne qui a porté principalement sur l'arrestation par les autorités maliennes de 49 militaires ivoiriens à l'aéroport international Modibo Keïta-Senon de Bamako.

Ci-dessous, l'intégralité du communiqué.


Appel à candidature : formation certifiante en Fiscalité d'entreprise

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Le Centre Africain d'Expertise en Gestion, Économie et Innovation (CAGEI), organise une session de formation certifiante en Fiscalité d'entreprise

 Objectif

L'objectif général est de permettre à de nombreux professionnels qui sont amenés, dans le cadre de leurs missions, à tenir compte de règles ou de contraintes fiscales qui s'appliquent aux entreprises. Il s'agit de mieux outiller les professionnels aux techniques et outils fiscaux modernes afin de leur permettre d'identifier et maîtriser l'ensemble des impôts et taxes dus par une entreprise en vue d'une gestion fiscale optimale.

 Compétences validées

A l'issue du programme, le candidat devrait être capable de :
 Cerner les règles générales qui régissent la fiscalité
 Faire le point sur l'environnement fiscal de l'entreprise et maîtriser la gestion fiscale de l'entreprise
 Assumer la responsabilité des obligations déclaratives de l'entreprise.
 Réaliser l'audit de l'environnement fiscal de l'entreprise.
 Appliquer les spécificités de la gestion fiscale de l'IS de la TVA de la fiscalité locale de la fiscalité patrimoniale et de la fiscalité immobilière.
 Gérer les relations entre les organisations et l'administration fiscale.
 Acquérir les réflexes techniques et les modes de raisonnement fiscaux
 Intégrer les mécanismes fiscaux tant en matière d'IS que de TVA
 Produire les principales déclarations fiscales de l'entreprise

 Public cible

Chefs d'entreprise, DAF, Comptables, fiscalistes, consultants, étudiants, etc

 Contenu

Le certificat est organisé est 6 modules de 150h au total
 Module 1 : Principes généraux de fiscalité des entreprises
 Module 2 : Impôts directs
 Module 3 : TVA et prélèvements
 Module 4 : Fiscalité des personnes morales à but non lucratif
 Module 5 : Fiscalité communautaire et internationale
 Module 6 : Gestion des relations de l'entreprise avec l'administration fiscale

Équipe d'intervenants

L'équipe d'intervenants est composée d'enseignants chercheurs, d'inspecteur d'impôts, de consultants et conseillers fiscaux, d'experts comptables

 Conditions d'accès et de validation

L'accès aux certificats est ouvert aux candidats titulaires d'au moins le BAC ou justifiant d'une solide expérience professionnelle. Une moyenne générale minimale de 12/20 doit être obtenue pour la délivrance d'un certificat.

 Calendrier de la formation

 Inscription : jusqu'au 30 juillet 2022
 Cours : Août à septembre 2022
 Période de cours : lundi au vendredi de 18h00-21h30
 Lieu : Ouagadougou/ZAD

 Coût de participation

 Candidature individuelle : 450 000 F CFA
 Candidature institutionnelle : 500 000 F CFA
Nb. Les frais de participation à titre individuel sont payables en plusieurs tranches.

 Inscription

Pour vous inscrire, cliquez sur le lien
https://forms.gle/Uvqcgm35i7tFwAax9

 Nous contacter

Info ligne : + 226 25 45 37 57
WhatsApp : +226 78398855
Email : cagei.int@gmail.com
Notre page facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100071286197939
Situation géographique : A la ZAD en face du magasin du Donsen Alu entre la station Oryx et Mégamonde ZAD.

Lutte contre la corruption dans les milieux judiciaire, pénitentiaire et des droits humains : de lancement du numéro vert 80 00 11 50

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Le Ministre de la Justice et des Droits Humains, chargé des Relations avec les Institutions a l'honneur de porter à la connaissance de l'ensemble de la population du Burkina Faso, que dans le cadre de la mise en œuvre de ses actions de lutte contre la corruption dans les milieux judiciaire, pénitentiaire et des droits humains, un numéro vert a été installéà l'Inspection Technique des Services. La cérémonie officielle de lancement de ce numéro vert, qui est le 80 00 11 50, aura lieu le jeudi 14 juillet 2022 à partir de 09 heures à l'Hôtel Royal Beach.

Vous pourrez contacter ce numéro, les jours ouvrables aux horaires suivants :
Lundi au jeudi : 08 heures à 12 heures et de 13 heures à 15 heures
Vendredi : 08 heures à 12 heures et de 13 heures 30 minutes à 15 heures
Ensemble, engageons-nous pour lutter contre la corruption dans les milieux judiciaires pénitentiaires et des droits humains en appelant au 80 00 11 50.
Remerciement : Programme des Nations Unies pour le Développement


Formation en prise de parole en public

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CIBLES :

La présente session de formation s'adresse aux commerciaux, entrepreneurs, chefs d'entreprise, chargés du recrutement, Gestionnaires des Ressources Humaines, chefs du personnel, étudiants, personnes en quête d'emploi.

OBJECTIF DE LA FORMATION :

Vous permettre d'identifier les obstacles qui freinent votre libre expression, et vous permettre de vaincre votre timidité.

DATE DE LA FORMATION :

Le Samedi 16 Juillet 2022.

HEURE DE LA FORMATION :

De 9h30 à 16h30.

MODULES ABORDES :

Module 1 : Adopter la bonne posture ;
Module 2 : Dompter son espace et son auditoire ;
Module 3 : Cultiver la confiance en soi ;
Module 4 : Vaincre sa peur par la maîtrise de l'improvisation ;
Module 5 : Devenir un orateur influent.

PARTICIPATION : 25.000 FCFA donnant droit à :
Une attestation de formation ;
Une pause-café.

Pour plus d'informations, contactez-nous au :
(+226) 0539 1912 / 5263 5390.

« La formation est la clé de toute réussite. »

Rencontre Damiba et anciens chefs de l'Etat : La Coalition centriste pour la paix des partis et formations politiques salue « la tenue de cette rencontre de haut niveau »

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La Coalition centriste pour la paix des partis et formations politiques se félicite, à travers les lignes qui suivent, de la tenue de la rencontre entre le chef de l'Etat, Paul Henri Damiba, et les anciens chefs de l'Etat et se dit disposée à accompagner les nouvelles autorités pour la réussite de la réconciliation nationale.

Peuple et amis du Burkina Faso
Femmes et hommes du pays des hommes intègres

La Coalition Centriste pour la Paix des partis et formations politiques (CCP) a appris par voie de presse la tenue d'une rencontre de haut niveau et de larges concertations au sommet de l'Etat, le vendredi 08 juillet 2022 afin de recueillir les propositions et suggestions des anciens chefs d'Etat du Burkina Faso, sans distinction et sans discrimination aucune.

Cette rencontre qui a mobilisé le Président du Faso, Son Excellence le Lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo DAMIBA, leurs Excellences Jean Baptiste OUEDRAOGO et Blaise COMPAORE, dans un huit clos, est un signal fort pour la nouvelle génération de filles et de fils du Burkina Faso, dans le présent contexte.

En effet, notre patrie, le Burkina Faso traverse l'une des plus sombres périodes de son histoire et ce, à cause de la crise sécuritaire sans précédent à laquelle nous faisons face depuis 2016, dont les conséquences sur la cohésion sociale, le vivre-ensemble et la paix sont perceptibles et non négligeables.

Pour tous les Burkinabè et amis du Burkina Faso, dire aujourd'hui que le terrorisme menace l'existence de notre chère patrie est une lapalissade tant la récurrence des attaques terroristes le prouve à souhait.

La Coalition centriste pour la Paix des partis et formations politiques tient à féliciter et à saluer la tenue de cette rencontre de haut niveau, qui devrait contribuer à court, moyen et long terme à l'amélioration de la cohésion sociale et à l'apaisement d'une part et au déclenchement du processus de réconciliation nationale d'autre part.

Peuple et amis du Burkina Faso
Hommes et femmes du pays des hommes intègres

Au regard de la situation que traverse notre nation, il est urgent pour toutes les filles et tous les fils du Burkina Faso d'œuvrer au retour de la paix et de la cohésion nationale. Et pour ce faire, nous devons faire fi de ce qui nous divise et privilégier ce qui nous rassemble, et lutter ensemble comme un seul homme pour sauver notre pays.

C'est en cela que la Coalition centriste pour la Paix loue toute initiative fédératrice et allant dans le sens du dialogue entre les acteurs, dans le contexte où les risques de dislocation de notre pays sont de plus en plus grands. En outre, la Coalition centriste pour la Paix encourage tous les acteurs à s'inscrire dans la dynamique de la recherche de la paix et à privilégier les actions concourant à cette paix, pourvoyeuse de bien-être et de bonheur au peuple.

C'est dans le sens de la recherche de l'apaisement, que pour les prochaines étapes, la CCP invite le Président DAMIBA à aller vers toutes les familles victimes depuis 1960 de quelle que forme que ce soit et avoir un dialogue franc avec elles avant le démarrage du processus de réconciliation nationale.

Du reste, la Coalition centriste pour la Paix est disposée à accompagner les nouvelles autorités pour la réussite de la réconciliation nationale.
Tout en exhortant le chef de l'Etat à poursuivre les efforts de recherche de solutions, tout en favorisant l'approche inclusive et participative, la CCP ose espérer que ses suggestions serviront à quelque chose.

En tout état de cause, la CCP se réjouit de la tenue de la rencontre de haut niveau en ce sens qu'elle s'inscrit en droite ligne de certaines de ses propositions faites il y a quelques mois, dans les colonnes de plusieurs journaux et ou diffusées sur les ondes des radios et télévisions nationales et internationales ».
Qu'Allah bénisse le Burkina Faso et les Burkinabè

Fait à Ouagadougou, le 12 juillet 2022

Le Coordonnateur national de la CCP

El Hadj Lamine Mahamadi KOUANDA
Commandeur de l'Ordre national

Population mondiale : L'Inde va détrôner la Chine en 2023, selon des projections (ONU)

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Le seuil de 8 milliards d'humains devrait être franchi le 15 novembre 2022, et la planète compter 9,7 milliards d'habitants en 2050. L'Inde devrait dépasser la Chine en tant que pays le plus peuplé du monde en 2023. La population de l'Afrique subsaharienne, elle, devrait presque doubler d'ici 2050 alors que celle de l'Europe et de l'Amérique du Nord n'augmenter que de 0,4 %. Ce sont entre les projections mondiales de la population faites par les Nations unies, à l'occasion de la journée mondiale de la population. Dans cette vidéo, nous avons récapitulé quelques chiffres.

HFB
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Décès de OUEDRAOGO Rasmané Jacques : Remerciements et faire-part

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Les grandes familles OUEDRAOGO et KOUDOUGOU à Koulsini, Boulsa, Pouytenga, Ouagadougou, Tenkodogo, Tigri-yarsé, au Togo et en République de Côte d'Ivoire ;

Les familles alliées OUEDRAOGO, SAWADOGO, KABORE, ZIDWEMBA, KOUDOUGOU, OUOBA, ZONGO, TARNAGDA ;

Les enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants expriment leur reconnaissance à tous ceux qui de près ou de loin, leur ont apporté réconfort, soutien moral, matériel et financier lors du rappel à Dieu de leur frère, époux, père, oncle, grand-père, arrière-grand-père OUEDRAOGO RasmanéJacques, précédemment agent technique d'agriculture à la retraite ; décès survenu le 19 juin 2022 à Ouagadougou dans sa quatre vingtième année.

Ils vous informent par ailleurs que des messes ont été demandées à son intention aux lieux et dates ci-après :

- paroisse sainte Maria Goretti de Boulsa : tous les dimanches, du 26 juin au 30 novembre 2022 ;

- paroisse saint Guillaume de Tanghin : les dimanches 3, 10, 17, 24 et 31 juillet 2022 ;

- paroisse saint Pierre de Latoodin : tous les dimanches, du 1er septembre au 30 novembre 2022 ;

- paroisse cathédrale de Kaya et paroisse militaire saint Martin de Tours : tous les dimanches du 1er au 31 juillet 2022 ;

- Chapelle de la communauté des pères de Don Orione à Tanghin : tous les dimanches, du 1er juillet au 30 septembre 2022 ;

- Chapelle du grand séminaire saint Pierre saint Paul de Kossoghin : tous les dimanches du 1er octobre au 31 décembre 2022.

UNION DE PRIÈRE

Ajouter une couche de terre sur un mur ne le fera pas s'écrouler.

Insécurité au Burkina : Un braquage fait un mort et deux blessés à Dakola

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Des braqueurs ont attaqué le mardi 12 juillet 2022 aux environs de 19heures, une boutique de mobile money en plein coeur de Dakola, rapporte l'agence d'information du Burkina (AIB).

Au cours de l'opération, un passant a été mortellement touché et deux autres personnes blessées dont l'une évacuée au Ghana et l'autre à Pô.

En rappel, Dakola est une localité située à la frontière du Burkina et du Ghana, à une vingtaine de km de Pô dans la province du Nahouri, région du Centre-sud.

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Source : AIB

7e édition de la Semaine nationale de l'Information et de l'Orientation (SIO) : Le Centre National des Œuvres Universitaires (CENOU) communique sur ses prestations aux nouveaux bacheliers

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Diverses communications sur les services sociaux offerts aux étudiants par le CENOU ont fait l'objet d'une communication ce mardi 12 juillet 2022, au pavillon Soleil Levant du Salon International de Ouagadougou (SIAO), en marge de la cérémonie officielle d'ouverture de la SIO 2022. Cette communication fut présentée par monsieur Ousmane OUATTARA, le Directeur des Etudes et de la Planification du CENOU.

Les nombreux bacheliers ont eu droit à une présentation du CENOU et de ses diverses prestations en direction des étudiants. Le communicateur a ainsi indiqué que le CENOU assure la gestion des œuvres sociales des étudiants dans les domaines suivants : le logement, la restauration, la santé, l'action sociale, les activités sportives et culturelles ainsi que le transport des étudiants pour les activités autres que pour celles académiques.

L'ensemble de ces services vise à créer des conditions d'études convenables aux étudiants. Il a rassuré les nouveaux bacheliers de la possibilité de postuler pour un hébergement dans les cités universitaires et de la disponibilité de la restauration au niveau des différentes universités publiques. La santé des étudiants n'est pas en reste car la Mutuelle Nationale de Santé des Etudiants du Burkina Faso (MUNASEB) a créé toutes les conditions pour une prise en charges des étudiants.

Quant aux activités de sport et de loisir, le CENOU en fait un levier pour le bien être des étudiants. Ainsi, des jeux de société en passant par les sports collectifs ou individuels, tout est mis en œuvre pour une vie saine au sein des universités et des cités universitaires.

Les étudiants ont été invités à se familiariser avec la plateforme www.cenou.gov.bf ainsi qu'avec la plateforme www.campusfaso.bf où seront publiées les différentes informations sur les offres du CENOU.

Synthèse faite par la Commission Animation, Mobilisation des Partenaires et Gestion des Medias


Situation sécuritaire : L'APP/Burkindi propose au président Damiba de déclarer l'état de guerre contre le terrorisme

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Dans une lettre ouverte adressée au chef de l'État, l'APP/Burkindi invite le lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba, à prendre ses responsabilités face à la situation sécuritaire. Le parti politique propose aussi dans le cadre de la restauration de l'intégrité territoriale et morale, de publier le rapport de l'Inspection générale de l'Armée sur le drame d'Inata, de déclarer l'état de guerre contre le terrorisme, et de refonder l'armée pour en faire une véritable armée patriotique. Nous vous proposons l'intégralité de la lettre adressée au président du Faso.

Excellence Monsieur le Président,

L'Alternative Patriotique Panafricaine / Burkindi (APP/Burkindi), parti résolument opposéà la corruption, à la mal gouvernance, à l'impunité et au néocolonialisme condamne avec la dernière énergie les agressions terroristes contre notre pays. Notre parti s'incline devant la mémoire de l'ensemble des victimes du terrorisme, présente ses condoléances aux familles éplorées et à l'ensemble de la Nation. Il souhaite prompt rétablissement aux blessés, courage aux personnes déplacées internes (PDI) comme externes et invite les Forces de Défense et de Sécurité (FDS), leurs supplétifs (les VDP), les groupes d'auto-défense, les jeunes et tou.te.s les patriotes combattant.e.s à garder haut le moral et la détermination pour la défense de la Patrie. Le drame de Seytenga prouve encore une fois que le pays reste abonné aux deuils nationaux. Nous refusons la banalisation des horreurs insoutenables du terrorisme et de l'occupation de la moitié de notre territoire.

Excellence Monsieur le Président,

Le 24 janvier 2022 vous avez pris le pouvoir par la force armée face à l'incapacité manifeste de l'ex-Président KABORE et son MPP et ses alliés de venir à bout du terrorisme. Contrairement au coup d'État du 16 septembre 2015 du RSP, les forces vives du peuple n'ont pas contesté dans la rue et les casernes votre putsch. A travers une correspondance du 5 février 2022, nous vous avons formulé nos propositions de sortie de crise. Avec le MPSR au pouvoir, nos populations espéraient un retour rapide de la sécurité, la fin des incohérences de gestion du pouvoir d'État et la restauration du territoire national. Cinq mois après, en dépit de la mise en place de la Transition, plusieurs signaux nous interpellent :

- Sur le plan sécuritaire, force est de constater que nous sommes au bord du gouffre, malgré les efforts déployés. La situation sur le terrain reste très préoccupante. Le doute et l'inquiétude se sont emparés d'une partie importante de l'opinion nationale qui s'interroge sur la volonté et les capacités réelles de votre régime de faire face à ces terroristes.

- Nous assistons à des disparitions récurrentes et suspectes de camions citernes d'hydrocarbures qui seraient capturés par les groupes armés terroristes (GAT). Cela pose d'énormes questions sur l'ampleur du réseau de complicités internes et externes de ces GAT.

- Vous avez indiqué vouloir vous situer au-delà de la classe politique. Pourtant, laissant planer le doute sur la neutralité de votre action, vous avez fait appel à des politiciens de premier rang de l'ancien régime chassé par l'Insurrection populaire de 2014 : d'abord pour présider la séance plénière des Assises nationales de la Transition pour l'un d'entre eux, ensuite pour nommer un autre Ministre d'État dans votre gouvernement.

- Le rapport sur le drame d'Inata, qui peut difficilement soustraire la responsabilité de certains officiers supérieurs de nos FDS, n'est toujours pas rendu public.

- Vous avez appelé nos compatriotes à consentir un effort de guerre et vous avez parallèlement multiplié par deux les salaires de vos ministres et le vôtre. Ajoutéà cela, vous avez procédéà des nominations à la direction de sociétés d'État, de plusieurs officiers supérieurs censés prendre la direction des opérations militaires, alors même que les attaques terroristes s'intensifient et que le pays dispose de compatriotes civils, intègres et aptes à ces fonctions.

- Le contexte économique et social est marqué par une inflation sans doute exagérément gonflée par des officines politico-économiques, un accroissement spectaculaire du nombre de PDI et des déplacements importants de nos compatriotes vers des pays limitrophes. La souffrance de nos populations est indicible.

- Des appels au meurtre collectif d'une communauté nationale sont ouvertement proférés, à l'exemple de ce qui s'est passé au Rwanda au début des années 90 avant le génocide et en Côte d'Ivoire au début des années 2000 avant la guerre civile meurtrière. Une guerre de communication, une propagande mensongère et haineuse vise à pousser nos communautés séculaires à se considérer mutuellement comme boucs-émissaires et à s'entre-tuer.

- La mauvaise gouvernance et les détournements des fonds publics décriés sous le pouvoir du MPP semblent encore prospérer. Cinq mois après la prise de pouvoir du MPSR, aucun signe d'ouverture de dossiers judiciaires ni de poursuites des nombreux dossiers de crimes économiques.

- C'est dans ce contexte que la presse et vos services de communication ont annoncé une rencontre de « haut niveau » avec les anciens Chefs d'État dont deux exilés volontaires sous le coup de poursuites judiciaires ou de condamnation ferme.
C'est pourquoi, en ces moments douloureux et critiques pour la Nation, l'APP/Burkindi a opté pour cette adresse solennelle à vous en votre qualité de Président du Faso, Chef de l'État, Chef suprême des Armées, à travers cette correspondance avec pour objectif de vous placer devant vos propres responsabilités et de contribuer à la recherche de solutions, car la patrie a besoin de l'énergie et de la contribution de tous ses enfants.

Nous pouvons vaincre le terrorisme, à condition d'en cerner correctement les contours, les commanditaires, les exécutants, leurs motivations et mobiliser le peuple en conséquence.

Notre peuple a déjà vaincu en 2014 ce que beaucoup considéraient comme un terrorisme d'État, une gestion dictatoriale du pouvoir politique et judiciaire, une gestion patrimoniale du pouvoir économique et de la question foncière, de l'orpaillage et des zones rurales pastorales. Cela durait depuis l'assassinat du Président Thomas SANKARA et a malheureusement prospéré après la transition de 2015. Les abominables stratèges de l'agression terroriste contre notre pays et l'Afrique, qui sont en réalité les parrains de plusieurs dictateurs africains, exploitent ce terreau social fertile et instrumentalisent à souhait nos dynamiques de conflictualités locales induites par l'absence séculaire de l'État dans nos contrées rurales, rendant complexe la lutte contre ce phénomène immonde. Oui, la paupérisation massive de notre peuple, les exactions contre des communautés déjà démunies, l'impunité dans le cadre de crimes de masse comme Yirgou ainsi que les trop nombreux exemples du genre, font le lit du terrorisme !

Excellence Monsieur le Président,

Une mobilisation populaire de combat et une clarification de nos alliances extérieures sont incontournables.

La réponse exclusivement militaro-sécuritaire expérimentée depuis plus de 6 ans a montré toutes ses limites. En dépit de son équipement militaire de premier ordre, le monde entier a été témoin du retrait précipité de l'Afghanistan de l'Armée des États Unis d'Amérique, la première armée du monde et ses alliés de l'OTAN. Dans la réflexion initiée par le régime précédent sur la stratégie nationale de lutte contre le terrorisme, deux éléments fondamentaux rendus publics indiquaient : (i) la réponse militaire est insuffisante pour venir à bout de la menace terroriste, il est nécessaire d'allier des réponses sociales et économiques, (ii) la possibilité d'adoption d'un plan de déradicalisation pour tous nos compatriotes qui veulent déposer les armes. Sur ce dernier point, nous saluons votre décision d'engager le dialogue entre belligérants au niveau local. La collaboration entre populations et FDS est d'une nécessitéévidente et incontournable. L'Algérie, parmi d'autres exemples, l'a déjà expérimentée avec succès. Sans une guerre populaire et patriotique généralisée, sous la direction des FDS, notre calvaire risque d'être encore plus long et meurtrier.

A l'épreuve des faits, nos soutiens militaires extérieurs sont inopérants et ont plus l'allure d'une occupation militaire hostile. Rappelez-vous que nuitamment, les militaires français, avec l'appui des militaires américains et de nos FDS, ont libéré dans le désert la poignée d'otages français, coréen et américain qui avaient précédemment été capturés au Bénin. Pourquoi n'y a-t-il pas la même efficacité lorsqu'il s'agit de collaborer avec nos FDS, de protéger, secourir nos populations et reconquérir nos zones occupées ? Le Directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a répondu à la question : "Je ne sais pas si le monde accorde vraiment la même attention aux vies noires et blanches. Je dois être franc et honnête : le monde ne traite pas la race humaine de la même manière. Certains sont plus égaux que d'autres."

Cela est d'autant plus vrai que, en quelques mois de conflit armé en Ukraine, l'Occident a mobilisé pas moins de 65 milliards d'euros en équipements militaires d'aide à ce pays. A contrario, en plus de 10 ans de conflit armé terroriste au Sahel, les mêmes pays occidentaux n'ont jamais réussi à rassembler la modique somme de 1,3 milliards promise au feu-G5 Sahel ! Mais l'Europe est dans son droit lorsqu'elle défend ses intérêts.

Nous sommes les principaux responsables de nos errances, de nos incohérences et de nos mauvais choix. Notre seule boussole doit être l'intérêt de la mère Afrique et de l'intérêt des peuples Africains. Nous devons cesser d'être des instruments d'intérêts étrangers opposés à ceux de nos peuples. Réconcilier nos pays Africains, restaurer la confiance entre l'État et l'ensemble des populations est un impératif salutaire. Cela n'a rien à voir avec des arrangements entre vieux politiciens qui ont ensemble spolié nos populations.

Les propositions de l'APP/Burkindi pour la sauvegarde de notre pays et la restauration de notre intégrité territoriale et morale.

1. Promouvoir l'exemplaritéà la tête de l'État et de nos institutions. Annuler les augmentations de salaires des ministres et du Président, de même que les nominations d'officiers à la tête des sociétés d'État et institutions publiques. L'effort de guerre concerne en priorité les dirigeants du pays et nos officiers formés pour défendre la nation.

2. Publier le rapport de l'Inspection générale de l'Armée sur le drame d'Inata, de même que les rapports des audits diligentés sur la gestion de l'Administration publique, ainsi que les rapports de l'ASCE/LC. On ne saurait tolérer des faits graves de dysfonctionnement, de détournements et de corruption parfois documentés pendant que nos FDS manquent de tout, meurent quotidiennement avec des populations civiles dont près de deux millions sont des déplacés internes. Continuer à laisser faire, c'est accepter la haute trahison et aggraver davantage notre drame et le ras le bol légitime de la population.

3. Pour la dignité, l'honneur et la patrie, déclarer l'état de guerre contre le terrorisme. Appliquer et approfondir les décisions prises : théâtre national des opérations, brigades populaires de défense, zones d'intérêt militaire. Au-delà des VDP, organiser le peuple autour des FDS, former les populations au maniement des armes, les encadrer et aller à l'assaut de tous les agresseurs du pays en rangs serrés.

4. Refonder notre armée pour en faire une véritable armée patriotique, populaire et indépendante de toute influence extérieure nocive. Cela impose a) d'exiger le départ de notre territoire des forces étrangères qui ont suffisamment fait la preuve de leur duplicité et de leur inefficacité sur le terrain ; b) de diversifier nos partenariats militaires et sécuritaires.

5. Revoir en profondeur la problématique du foncier rural pour favoriser un accès équitable à tous les acteurs (agriculteurs, éleveurs, et autres utilisateurs des ressources naturelles). Une telle révision doit nécessairement intégrer le respect des espaces et des parcours pastoraux, source de toutes les tensions communautaires et probablement le principal facteur de radicalisation de certaines communautés frappées de plein fouet par le réchauffement climatique.

6. Adopter une attitude de tolérance zéro contre tout acte avéré de stigmatisation envers un individu ou une communauté. La question de la stigmatisation des communautés est d'autant plus préoccupante que si on n'y prend garde, elle portera un coup fatal au vivre-ensemble séculaire dans notre pays. Une véritable politique de réarmement civique, à peine esquissée à travers le Manuel de suivi sur les indicateurs de la cohésion sociale au Burkina Faso (août 2021), s'impose.

7. Renforcer la justice, traiter les dossiers pendants de crimes de sang, crimes de masse, crimes économiques, crimes de collusion avec les terroristes en mettant en place des tribunaux spéciaux dotés de moyens conséquents. Appliquer les mêmes règles à tou.te.s les justiciables, simples citoyen.ne.s ou anciens Chefs d'État ou autres responsables.

8. Il est impératif d'apporter réellement tout le soutien nécessaire (moral, organisationnel, logistique, matériel, financier) à nos braves FDS qui ont payé et continuent de payer un lourd tribut dans cette crise sécuritaire. Dans ce même registre, nous saluons et soutenons l'initiative de tous les combattants qui ont su apporter une plus-value considérable en termes de sécurisation des populations, et dont les authentiques faits de guerre ne manquent pas pour illustrer leur héroïsme. C'est une occasion renouvelée pour notre parti de leur rendre hommage.

9. Porter une assistance conséquente et digne aux presque deux millions de personnes déplacées internes. En collaboration avec les pays voisins qui accueillent nos compatriotes, porter une assistance réelle à toutes celles et tous ceux qui ont trouvé refuge dans ces pays frères et inversement. De même, les familles des victimes du terrorisme, FDS et civils, les blessés de guerre, les blessés de l'Insurrection de 2014 et du Coup d'État de 2015 doivent tous être réellement pris en compte par la solidarité nationale.

10. Mettre en œuvre un plan spécial d'investissement social et économique pour les zones délaissées. Partir de la cartographie de la menace terroriste dans notre pays (Nord, Centre-Nord, Est et Sud-Ouest…), identifier les facteurs déclencheurs de la radicalisation, les traiter pour ramener la paix et la cohésion sociale. Cela est notre première ligne de défense contre les GAT qui se verront ainsi sevrés de leurs sources de recrutement au sein de nos populations.

11. Enfin, il nous paraît urgent de prendre toutes les initiatives nécessaires pour renforcer l'inclusivitéà tous les niveaux décisionnels et dans l'espace public, engager un processus de dialogue social intercommunautaire de proximité, en plus du dialogue avec ceux qui ont pris les armes, à l'effet de ressouder le tissu social fortement entamé par la crise sécuritaire. Ce processus de dialogue est cardinal et même incontournable et devrait impliquer tous les acteurs pertinents (leaders communautaires, OSC, personnes ressources écoutées, etc.). Ce processus devra être accompagné de mesures de réinsertion sociale de nos compatriotes abusivement enrôlés par les groupes armés terroristes.

Excellence Monsieur le Président,

L'APP/Burkindi pour sa part indique déjà la voie car nous prônons et suivons Laawõl Burkindi (le chemin de la dignité) par Hõron Ya (le comportement de l'honneur). Nous restons au service de notre peuple pour apporter notre contribution à la recherche de solutions durables à la crise sécuritaire, à la lutte pour la libération intégrale de notre territoire occupé et à la promotion de la cohésion sociale et du vivre- ensemble.

Nous appelons le peuple burkinabèà la vigilance, au refus de la manipulation, de la division, pour éviter de nous plonger dans une situation encore plus dramatique, telle que la récupération opportuniste, à cause du désarroi de la population, et la restauration d'un régime prédateur déjà rejeté. Nous devons œuvrer de sorte à rendre effective la souveraineté populaire, conformément au signal et l'esprit de l'Insurrection de 2014 et la Résistance au Coup d'État de 2015. Les acquis de ces mobilisations historiques et populaires doivent alimenter nos efforts actuels de reconquête et de restauration de notre territoire et celles de la dignité du peuple burkinabè.

Nous appelons l'ensemble des patriotes sincères organisés ou non, les organisations patriotiques à unir leurs efforts pour stopper la descente aux enfers de notre Patrie bien aimée.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'expression de notre profond et indéfectible engagement patriotique.

Ensemble, nous vaincrons les forces du mal !
Nan lara, an sara !

Le Président

Adama COULIBALY
téléphone : 65 20 24 89 / adama7coul@gmail.com

Vie de couple : La fraternité Cana offre l'occasion aux couples de se redécouvrir une semaine durant

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La fraternité Cana de la communauté du chemin neuf, organise depuis maintenant quelques années, des retraites spirituelles à l'endroit des couples fiancés et mariés. Six jours durant, ceux-ci prennent le temps à l'occasion de ces retraites, de discuter de leur vivre ensemble et d'approfondir leur relation avec Dieu. Cette année encore, la tradition sera respectée avec l'organisation de la semaine Cana dans plusieurs villes. Le couple Bernard et Clarisse Yaméogo, responsables de la fraternité Cana nous en disent plus dans cet entretien.

Lefaso.net : quel est l'objectif visé par les semaines organisées par la Fraternité Cana de la communauté du chemin neuf ?

Bernard et Clarisse Yaméogo : La fraternité Cana est une mission de la communauté de Chemin neuf qui œuvre pour l'unité du couple et de la famille. Dans ce sens, la “semaine Cana” constitue le cœur des propositions pour les couples. La semaine CANA permet aux couples désireux d'approfondir leur relation de couple, de prendre le temps de se retrouver, de parler à 2 (en abordant des questions telles que le dialogue, le pardon, la sexualité…), de partager avec d'autres couples, de découvrir l'amour de Dieu qui est la source de tout amour vrai, de découvrir ou de redécouvrir la beauté du mariage. La semaine CANA permet aux couples de retrouver le sens de la vie de couple, de l'engagement, de la famille et d'avoir une vie harmonieuse.

CANA accueille également pendant une semaine ceux et celles qui se posent la question de leur engagement futur ou qui s'acheminent vers le mariage pour bâtir les fondements solides de leur future relation de couple : c'est la semaine Cana Fiancé.

Quelles sont les conditions de participation à ces retraites ?

La semaine CANA s'adresse à tous les couples qui acceptent les conditions ci-après :

Avoir la volonté de prendre du temps pour son couple ;

Accepter de consacrer pour cela six (6) jours ;

Etre en couple et accepter les conditions d'une retraite fermée

Contribuer aux frais de la semaine

Comment vont se dérouler concrètement ces semaines ? Dans quelles villes et à quelles dates ?

La semaine Cana se déroulera cette année aux dates ci-après dans les villes suivantes :

- A Ouagadougou au grand séminaire Saint Jean-Baptiste de Wayalghin du vendredi 05 au jeudi 11 août 2022 pour les couples mariés et les fiancés

- A Bobo Dioulasso au grand séminaire de Koumi, du vendredi 12 au jeudi 18 août 2022 pour les couples

- A Koudougou au centre agricole de Goundi du vendredi 12 au jeudi 18 août 2022 pour les couples

Qu'est-ce que ces retraites vont apporter aux couples qui vont y prendre part ?

En créant les conditions d'un dialogue qui conduit à vivre la relation et la réconciliation avec le conjoint, la semaine Cana permet aux couples de vivre un véritable « renouveau » de leur alliance et de la grâce de leur mariage. Les couples y reçoivent une formation qui leur donne des outils et repères concrets pour la conduite de leur vie conjugale. Les témoignages reçus par ceux ayant vécu la semaine Cana montrent que des couples ont été renouvelés, des pardons donnés et reçus, des vies de familles épanouies, la communication en couple rétablie, une vie de prière plus soutenue, une plus grande intimité avec le Seigneur, des engagements à l'évangélisation d'autres couples. C'est un temps de grâce pour redécouvrir la beauté du mariage, la valeur du conjoint et goûter la présence aimante de Dieu. CANA se veut une véritable «école » du couple et de la famille, un lieu chaleureux d'accueil et de fraternité où l'on peut découvrir et approfondir la joie d'aimer malgré les difficultés.

La fraternité Cana en plus des retraites, tient des formations ponctuelles au profit des fiancés et des couples mariés, pouvez-vous nous en dire plus ?

Les formations au profit des couples et des fiancés sont diversifiées et se font au cours de l'année à travers :

• des « weekends » de formation,
• des formations en ligne,
• des journées d'évangélisation,
• des conférences et enseignements
• une formation (Cana Welcome) proposée aux couples dans les paroisses où toutes les paroisses désireuses de l'animer en leur sein ont la possibilité d'acquérir le kit auprès de Fraternité Cana

Propos recueillis par Armelle Ouédraogo/Yaméogo
Lefaso.net

Numéros utiles pour toute information : 70263585 / 70263590

Attaque du détachement militaire de Barsalgho : Une contre-offensive permet de neutraliser 17 terroristes

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Les forces armées nationales ont engagées une opération contre-offensive contre les terroristes, suite à l'attaque essuyée par le détachement militaire de Barsalgho le 10 juin dernier. Cette opération qui a combiné forces terrestres et aériennes, a permis de mener des raids sur des bases terroristes situées dans la zone. Elle a permis de neutraliser 17 terroristes, et de récupérer de l'armement, des munitions, des vivres, des lots de médicaments ainsi que des moyens de communication. Aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée côté ami.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Suite à l'attaque contre le détachement militaire de Barsalogho (Province du Sanmatenga, région du centre-nord) le 10 juin 2022, une contre-offensive est engagée depuis plusieurs jours pour traquer et neutraliser les groupes terroristes qui sévissent dans la zone. L'opération a mobilisé des unités terrestres et des appuis aériens.

Plusieurs raids ont été menés sur des bases terroristes identifiés grâce aux services de renseignement. Au bilan, on dénombre au moins 17 terroristes neutralisés. Sur les bases démantelées, une importante quantité d'armes et de munitions ont été saisies.

Des lots de médicaments, des vivres, des engins explosifs, des moyens roulants, des moyens de communication et divers autres matériels ont également été récupérés ou détruits. Côté ami aucune perte n'a été enregistrée.

Le Chef d'Etat-major Général des Armées salue cette réaction et félicite les unités pour les résultats tactiques engrangés. Il les exhorte à poursuivre l'offensive pour sécuriser les populations et leurs biens.

La Direction de la Communication
et des Relations Publiques des Armées

Décès de maman Helene Kabore née Ouédraogo : Faire-part

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«…Moi Je suis la résurrection. Qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ;…» Jean ; 25,11

La grande famille KABORE à Sabou, à Manhoulgou, à Ouagadougou, et en Côte d'ivoire
Sa majesté le Tansoaba ;
La grande famille OUEDRAOGO à Koudougou
Les enfants : Claire, Paul, Nathalie, Jean-Baptiste, Daniel, Pauline, François, Rachel, Emile, Mathieu ;
Les frères et sœurs, les petits enfants, les neveux ;
Les Familles alliées KAGAMBEGA, COMPAORE, VALIA, DAMBEGA, GNAGBO, SEKA, COULIBALY, BOULOU, ILBOUDO, PANAMTIGRI

Ont la profonde douleur de vous annoncer le rappel à Dieu de leur bien aimée épouse, fille, mère, sœur, grand-mère, belle-mère, tante
HELENE OUEDRAOGOà Ouagadougou le mardi 12 juillet 2022 des suites d'une maladie. Ils vous informent que les célébrations funéraires auront lieu à Ouagadougou selon le programme suivant :

MERCREDI 13 JUILLET 2022
- 20 heures : VEILLEE DE PRIERE AU DOMICILE sis à SANYIRI

JEUDI 14 JUILLET 2022
- 8 heures : Levée de corps à la MORGUE DE BOGODOGO

- 9 heures : Messe de requiem suivie de l'Absoute en la PAROISSE SAINT CAMILLE DE DAGNOIN

- 11 heures : Inhumation au CIMETIERE MUNICIPAL DE GOUNGHIN

Que par la miséricorde de Dieu l'âme de la défunte repose en paix !

Insécurité au Burkina : La gendarmerie de Sara saccagée par des hommes armés

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La brigade territoriale de gendarmerie de Sara située dans la commune de Békuy, province du Tuy a été la cible d'une attaque, perpétrée dans la nuit du mardi 12 au mercredi 13 juillet vers 2h du matin, par des individus armés non identifiés.

Selon l'agence d'information du Burkina qui rapporte l'information, l'attaque a fait d'importants dégâts matériels. Fort heureusement, aucune perte en vie humaine n'est à déplorer.

Lefaso.net
Source : AIB

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