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Sommet 2023 des Brics : Absent, Poutine s'est exprimé par visioconférence

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Le quinzième sommet des Brics s'est ouvert ce mardi 22 août 2023 au centre de conférence de Johannesburg, en Afrique du Sud. Comme il fallait s'y attendre, au titre des absents, le pensionnaire du Kremlin. Intervenant par visioconférence, Vladimir Poutine n'est pas passé par quatre chemins pour fustiger l'attitude des Nations-Unies, regrettant du même coup la crise des céréales.

La quinzième édition des BRICS s'est ouverte dans l'après midi du mardi 22 août 2023. Tous les leaders des cinq pays qui composent cette institution (Chine, Inde, Brésil, Afrique du Sud) étaient présents à ce rendez-vous. Seul était absent, Vladimir Poutine, visé par un mandat d'arrêt international. L'Afrique du Sud étant pays membre de la Cour pénale internationale (CPI), elle aurait été dans l'obligation de le mettre aux arrêts.

Prenant la parole par visioconférence, Vladimir Poutine est revenu sur l'accord sur les céréales, lequel avait été rompu en juillet 2023. "La Russie est délibérément entravée dans l'approvisionnement en céréales et en engrais à l'étranger. Et en même temps, on nous accuse hypocritement d'être responsables de la situation de crise actuelle sur le marché mondial. Cela s'est clairement manifesté dans la mise en œuvre du soi-disant accord sur les céréales, conclu avec la participation du secrétariat de l'ONU...Aucun des termes du soi-disant accord, concernant le retrait des sanctions des exportations russes de céréales et d'engrais vers les marchés mondiaux, n'a été mis en œuvre. Les demandes de la Russie à cet égard ont tout simplement été ignorées, même entravées et le libre transfert des engrais minéraux, bloqué dans les ports européens" a t-il déploré.

De ses dires, Moscou serait prête à revenir sur ses pas. Seulement, il faut que les clauses du contrat soient respectées et que les intérêts de son pays ne soient pas menacés. "Nous sommes prêts à y revenir, mais nous ne reviendrons que si toutes les obligations envers la partie russe sont effectivement remplies" a t-il clarifié.

En rappel, cette quinzième édition des Brics est placée sous le thème "Brics et Afrique : partenariat pour une croissance mutuellement accélérée, un développement durable et un multilatéralisme inclusif". Plus de soixante pays ont été invités cette année et une quarantaine (Etats africains compris) ont postulé pour une intégration.

Erwan Compaoré
Lefaso.net
Sources : VOA AFRIQUE, Lexpress, RFI, TV5 MONDE


IN MEMORIA BOURI YETEBA SOPHIE COMPAORE/ZOMBRE

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"Seigneur, nous ne te demandons pas pourquoi tu nous l'as enlevé, nous te remercions de nous l'avoir donné".
Que ton nom soit glorifié.

Les jours se sont égrainés comme un chapelet, laissant place à la douleur de ton absence et aux souvenirs. Une date qu'on ne saurait oublier : 25 août 2022.

En ce triste anniversaire, les grandes familles COMPAORE, ZOMBRE, TARAM à Guirgo, Saré, Ouargaye, Yako, Koudougou, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso.

Les familles alliées : TINDANO, TIOUSSE, SALOUKA, BAZIE, DABIRE, PIZONGO, BOUGOUM, DIESSONGO, PAHIMA, WANGO, BAGAGNAN, KOUTOU, KEDEM, SALOU, GOUMBRI, BADO, GUIRO, OUALI, KABORE, SEGDA, ZERBO, ZOUNGRANA, KANAZOE, OUEDRAOGO, KOURAOGO, BONKOUNGOU, ZAGRE et DIALLO.

El Hadj COMPAORE Amadou Batiéà Sapouy ;

Madame TINDANO née COMPAORE Alizèta Léticia, son époux Gustave et leurs enfants à Ouagadougou ;

Madame COMPAORE née TIOUSSE Awa et ses enfants à Ouagadougou ;

Renouvellent leurs sincères remerciements et profondes gratitudes à tous pour les nombreuses marques de sympathies et de soutiens multiformes lors de la maladie et du décès de leur bien-aimée épouse, fille, mère, belle-mère, Grand-Mère, sœur, cousine et tante :

BOURI YETEBA SOPHIE COMPAORE/ZOMBRE
Professeur de Français certifiéà la retraite

ils vous prient de vous unir d'intentions pieuses à son égard.
Des messes seront dites en sa mémoire suivant le programme suivant :

Paroisse Notre Dame des Apôtres (Patte d'oie)
25 août 2023 à 5h30 et 18h30
27 août 2023 à 9h

Paroisse Notre Dame de L'immaculée Conception
(Ouargaye) 27 août 2023 à 8h

St François d'Assises
25 Août 2023 à 5h45
27 août 2023 à 6h45

Paroisse St Camille
(1200 Logements)
25 août 2023 à 5h30
27 août 2023 à 6h

Juvenat garçon St Camille
27 août 2023 à 7h

Elle a mené le bon combat, elle a achevé sa course, elle a gardé la foi.

Décès de Saïdou Louis René YARO dit PDG : Faire part

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Décès de Saïdou Louis René YARO dit PDG : Faire part

La grande famille YARO à Dio, Yirou, Ouagadougou,Léo,Bobo-Dioulasso,Banfora,Dakar,Abidjan,Paris,USA,

- La famille de feu YARO Bapoury Jean-Michel à Ouagadougou, Secteur 11, Dapoya II ;
- La famille de feu YARO Gninakoi Alphonse à Ouagadougou, Secteur 11, Dapoya II ;

- La famille de feu YARO Sibiri Babou Koarabou à Léo,
- La famille de NEBIE Issaka à Ouagadougou, Secteur 9, arrondissement 2, Ouidi ;
- La famille de feu KEITA Boubacar à Ouagadougou, Secteur 9 arrondissement 2, Ouidi ;

- Les frères du défunt et leurs familles :
o Feu YARO Wéténou Yaya Jacob à Ouagadougou, Secteur 11, Dapoya II ;
o Feu YARO Nebon François à Léo ;
o Feu YARO Oumar à Dio ;
o Feu YARO Issa à Ouagadougou, Secteur 11, Dapoya II ;
o Feu YARO Mamadou à Banfora ;

o Feu YARO Yacouba dit Grec à Ouagadougou ;
o YARO Salifou Jean-Claude à Dakar, Villa N°100 (ex 95) Cité ASECNA ;
o Feu YARO Bita Claver à Rayongo, Ouagadougou
o YARO Issouf à Bobo-Dioulasso, Secteur 21 ;

o YARO Moussa à Ouagadougou, Secteur 11, Dapoya II ;
o YARO Drissa à Ouagadougou, Secteur 11, Dapoya II ;
o YARO Arouna à Pabré.
- Les soeurs du défunt et leurs familles :
o Feue Aminata NIGNAN née YARO, à Ouagadougou ;
o Feue Assétou Nébonkan BASSOLE née YARO, à Paspanga, Secteur 11, Ouagadougou ;

o Feue Cécile NEBIE née YARO, à la Patte d'Oie à Ouagadougou ;
o Feue Chantal OUEDRAOGO née YARO, à Ouagadougou ;
o Salamata Denise NACRO née YARO, à Cissin à Ouagadougou ;
o Feue Fatimata BASSONON née YARO, à Bobo-Dioulasso ;
o Feue Orokia Victorine COULIBALY née YARO, à Sankaréyaaréà Ouagadougou ;
o Nébilma Christine BONZI née YARO, à Ouagadougou ;
o Fanta Esther YEYE née YARO, à Ouagadougou ;

o Feue Alimata Hortense KANSIE née YARO, à Ouagadougou ;
o Fatou Angélique TRAORE née YARO, à Bobo-Dioulasso ;
o Mamou KAMBOU née YARO, à Bobo-Dioulasso ;
o Martine COMPAORE née YAMEOGO, à Ouagadougou.
o Les enfants du défunt et leurs familles :
o YARO Bapouri Alassane Serge à Ouagadougou,
- Ida Aïcha SANOU
née YARO à Ouagadougou,

- Les familles alliées :
OUEDRAOGO à Ouagadougou, Ouahigouya et Tikaré, N'DO à Nijelpoun et Boungnolo, KANSON à Gondi, BADOLO à Thyon, NAPON à Niabouri, BATIONO à Bobo- Dioulasso, Thyon et Réo, NEBIE à Dôn, BASSOLE à Réo, BAYALA à Boungnolo, YAGO à Léo, BABARA-SYLLA à Dakar et Dubréka en Guinée-Conakry, AJAMI à Dakar, PAUL à Pelissanne en France, KABORE à Ouagadougou, YERE à Ouagadougou, BONZI à Ouagadougou et Kosso, KANSIE à Gaoua, TRAORE à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso, SOME à Gaoua, NACRO à Ouagadougou et Léo, GOUNDO à Dapango,

COULIBALY à Ouagadougou et Bobo-Dioulasso, OUOBA à Fada-Ngourma,
DJATCHAN à Lomé, OUANDAOGO à Ouagadougou, NIGNAN à Goun, KAMBOU à Bobo-Dioulasso, COMPAORE à Ouagadougou, TAPSOBA à Napalguin, BAYILI à Ouagadougou, BASSONON à Ouagadougou et Boungnolo, NABALOUM à Yako, SANOU à Solenzo,

ont la profonde douleur de vous faire part du décès de leur fils, neveu, frère, cousin, grand-père, père, oncle, beau-frère, gendre,

Saïdou Louis René YARO dit PDG,
Administrateur des services des postes (PTT) à la retraite.

Décès survenu le Samedi 12/08/2023 à l'hôpital Yalgado - Ouagadougou dans sa 82 ème année

L'inhumation a eu lieu le 17 Août 2023 au cimetière municipal de Gounghin à Ouagadougou.

Ils vous renouvellent l'expression de leurs sincères remerciements pour avoir apporté de près ou de loin, à titre collectif ou intuitu personae, votre soutien moral, psychologique, financier, matériel et autres soutiens multiformes lors de cette douloureuse épreuve et particulièrement aux frères Temoins de Jéhovah.

Que Dieu Tout Puissant vous rende vos bienfaits jusqu'au centuple et vous bénisse.

In memoria El Hadj Birahima NACOULMA

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23 Août 2018- 23 Août 2023

Au nom de Dieu, le tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux « Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons » Coran Sourate 2 verset 156

El Hadj Birahima NACOULMA

Voici déjà cinq années qu'il a plu à Allah de rappeler son serviteur El Hadj Birahima NACOULMA à lui. A l'occasion de ce triste anniversaire, nous demandons à tous ceux qui l'ont connu d'avoir une pensée pieuse pour lui. Que Dieu dans son infini bonté lui fasse miséricorde afin qu'il continue à reposer en paix.
« Nul ne disparaît si sa mémoire reste toujours gravée dans nos cœurs et dans nos esprits »

UNION DE PRIERE

Appel à candidature pour le recrutement d'étudiants en première année du Master en Développement et Education des Adultes (DEDA), option Pédagogie du Changement Social et du Développement (PCSD)

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Communiqué N° 2023___________/MESRI/SG/UJKZ/P

Le Président de l'Université Joseph KI-ZERBO porte à la connaissance du public, en général, et des acteurs du développement en particulier, qu'il est ouvert, au titre de l'année académique 2023-2024, un test d'admission de la huitième promotion en Master Développement et Education des Adultes (DEDA), option Pédagogie du Changement Social et du Développement (PCSD).
Le nombre de places est limitéà trente (30).

La durée de la formation est de deux (2) ans. Elle est organisée sur le modèle d'alternance : un (1) mois de formation intensive (bloc de cours) en présentiel et en journée à l'Université Joseph KI-ZERBO, suivi d'environ trois (3) mois sur le terrain professionnel de l'étudiant.

Le nombre total de blocs de cours pour les deux (2) années est de six (6), répartis en quatre (4) semestres.

A. Conditions de candidature
Pour faire acte de candidature au Master, le candidat doit :
-être titulaire d'une licence d'université ou de tout autre diplôme jugééquivalent par les services techniques du Ministère en charge de l'enseignement supérieur du Burkina Faso ;
- justifier d'au moins trois (3) ans d'expériences professionnelles.

La sélection se déroule en deux phases :
- présélection à partir d'un examen de chaque dossier de candidature ;
- un entretien avec un jury d'admission.

B. Composition du dossier de candidature
Le dossier de candidature, pour être recevable sur la plateforme Campusfaso, doit comprendre les pièces suivantes :
1. un extrait de naissance ;

2. un certificat de nationalité pour les candidats étrangers.
3. une copie légalisée du diplôme du baccalauréat ;
4. une copie légalisée du diplôme de la licence ou de tout autre diplôme jugééquivalent par les services techniques du Ministère en charge de l'enseignement supérieur du Burkina Faso ;

5. une/des attestation (s) ou arrêté ministériel (intégration/titularisation) justifiant que le candidat possède au moins 3 ans d'expériences professionnelles ;
6. un curriculum vitae détaillé (avec photo), daté et signé faisant ressortir les parcours scolaire, universitaire et professionnel/extraprofessionnel. Les expériences menées et les compétences acquises ;

7. une lettre de motivation d'une page maximum datée et signée, renseignant à l'en-tête outre les coordonnées (lieu de résidence y compris), l'emploi et la fonction actuels ;
8. une attestation de présence (service) ou le contrat de prestation/consultation le plus récent pour les non-salariés.

C. Frais de gestion de dossier
Les frais de gestion du dossier (non remboursables) sont fixés à quinze mille cinq cents (15 500) F CFA payables sur la plateforme Campusfaso par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.

D. Soumission des candidatures
La soumission des candidatures se fera en ligne sur la plateforme Campusfaso par le lien : https://www.campusfaso.bf/formations/candidature.

E. Calendrier de déroulement du recrutement
Du 26 juillet au 07 septembre 2023 à 23 h 59 GMT : dépôt des dossiers de candidature sur campusfaso.
Le 15 septembre 2023 : résultats de la pré-sélection disponibles aux adresses e-mail des candidats et au secrétariat de la Filière DEDA.
Du 25 au 26 septembre 2023 : entretiens oraux à l'Université Joseph KI-ZERBO.
Le 06 octobre 2023 : résultats d'admission disponibles aux adresses e-mail des candidats et au secrétariat de la Filière DEDA.

1er bloc de cours : janvier 2024.

F. Droits d'inscription et de formation en FCFA

NB : les informations détaillées de la formation (objectifs, programme, blocs, diplôme…) sont contenues dans un dépliant téléchargeable sur le Site Web de l'Université Joseph KI-ZERBO www.ujkz.bf ou en prenant attache avec le Secrétariat de la Filière DEDA.

Pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacter :

Secrétariat de la filière DEDA : (226) 25 30 04 76 / 61 47 97 01 / 79 99 26 49 / 66 11 45 74
E-mail : uo.deda@gmail.com

P. Le Président et par délégation,
Le Vice-Président chargé des Enseignements
et des Innovations Pédagogiques

Dr Bernard ZOUMA
Maître de Conférences
Chevalier de l'Ordre des Palmes Académiques

- Diffusion générale.
- L'Observateur Paalga, le Faso.net

Ampliations :
- UFR/SH
- DAOI
- VP/EIP
- AC
- DSI

CAN Côte d'Ivoire 2023 : « Remporter la CAN ? il faut être réaliste… il y a des super favoris », affirme Hubert Velud, sélectionneur des Etalons

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Le sélectionneur des Etalons était face à la presse dans la matinée de ce mercredi 23 août 2023 à Koudougou pour présenter la liste des joueurs retenus pour les deux prochaines sorties face à l'Eswatini et au Maroc. Lors des échanges avec les journalistes sportifs, Hubert Velud s'est attardé sur les absents, les formes actuelles de quelques joueurs appelés ainsi que sur les chances des Etalons à la Coupe d'Afrique des Nations Côte d'Ivoire 2023. Déjà qualifié, le Burkina Faso ne ferait pas partie des grands favoris, selon les explications de Hubert Velud qui voit certaines équipes mieux loties que les Etalons pour prétendre au sacre suprême. Le Burkina Faso dispose cependant d'énormes atouts à ne pas négliger selon Hubert Velud.

Les Etalons du Burkina Faso effectueront deux sorties au cours du mois de septembre 2023. En effet, déjà qualifiés, les Poulains du coach Hubert Velud seront face au Bouclier du Roi d'Eswatini le 8 septembre 2023 à Marrakech au Maroc. Un match comptant pour la 6e et dernière journée des éliminatoires de la CAN Côte d'Ivoire 2023. Le 12 septembre 2023 à Lens en France, ils joueront un match amical contre les Lions de l'Atlas du Maroc, demi-finalistes du dernier mondial.

Pour ce faire, le sélectionneur national, Hubert Velud a fait appel à 25 joueurs retenus pour ces deux rencontres. On note notamment la première sélection du jeune portier Koula Sébastien Tou et le retour des joueurs comme Mohamed Konaté, Ismahila Ouédraogo. Des habitués comme Hervé Koffi Kouakou, Edmond Tapsoba, Issoufou Dayo, Steeve Yago, Issa Kaboré, Dango Ouattara, Cyrille Bayala, Blati Touré, Adama Guira, Cédric Badolo, Gustavo Sangaré ont été appelés.

En revanche, Franck Lassina Traoré blessé et Bertrand Traoré de retour de blessure ne seront pas de la partie. Il faut noter également l'absence des joueurs du championnat national qui devrait reprendre dans quelques semaines.

La liste des 25 Etalons convoqués pour ces deux rencontres face à l'Eswatini et le Maroc

Dango Ouattara sélectionné mais incertain, Mohamed Konaté attendu au pied du mur

Le coach Hubert Velud a été appeléà justifier la sélection de Dango Ouattara qui a manqué les deux premières journées de Premier League avec son club Bournemouth pour cause de Blessure. Dans ses explications, le maitre à penser des Etalons s'est montré peu rassurant sur l'attaquant des Cherries.

« Je l'ai eu personnellement au téléphone. Il est tout à fait rassurant. Le club peut être retissant, mais nous allons identifier tout ça. Lui il dit qu'il se sent bien, il s'entraîne. A partir du moment où il est très motivé, nous allons le faire venir et on verra si y a possibilité qu'il joue ou pas Au niveau médical c'est positif, mais je n'ai pas tous les éléments en mains. C'est un joueur très important mais il y'aura pas un risque médical à prendre », explique-t-il.

Le présidium lors de ce point de presse dans la cité du cavalier rouge

Avec l'absence de Bertrand Traoré de retour de blessure et la méforme de certains attaquants, Hubert Velud avoue que le potentiel offensif de son équipe est réduit. De son côté Mohamed Konaté, de retour en sélection est attendu au pied du mur. « Le potentiel offensif est réduit mais on fera tout pour gagner ces matchs parce qu'il n'y pas trop d'absences sur les autres secteurs de jeu », affirme-t-il.

« Bertrand Traoré est revenu il n'y a pas longtemps. Physiquement, il est limité. On ne peut pas prendre de risque. Vaut mieux ne pas tenter le diable. On va le laisser reprendre tranquillement avec son club », précise-t-il. « Mohamed Konaté, je le suis depuis longtemps. Il a failli venir la dernière fois, mais il était blessé. Son heure a sonné, il revient en force. Il est revenu à un niveau physique important et son profil est intéressant. Je ne le connais pas très bien mais je vais le voir à l'œuvre lors du stage », a-t-il ajouté.

Sur l'absence des joueurs locaux, Hubert Velud affirme que les meilleurs sont tous partis à l'extérieur. « Et cela est positif », se réjouit-il.

Tout en affirmant qu'il y a des équipes plus favorites que le Burkina Faso, Hubert Velud voit la proximité de la Côte d'Ivoire et la motivation de ses joueurs comme les principaux atouts du Burkina Faso pour cette CAN

Des joueurs pourraient faire les frais des tensions politiques entre et le Burkina Faso et la France

Le sélectionneur des Etalons de nationalité française à préférer se cantonner à son rôle de sportif et ne parler que du football. Il a refusé d'aborder la question sur les tensions politiques entre son pays d'origine et son pays d'accueil. Il reconnait tout de même que des joueurs pourraient avoir des problèmes d'obtention de visas. « Je fais du football et dans ce cadre, je suis un peu responsable du moral des burkinabè. Parce que si le Burkina Faso gagne, les Burkinabè seront contents. Je suis tout ce qui se passe, même si j'ai mes opinions, je ne parle que du football. Deux ou quatre joueurs pourraient avoir des soucis de visas. Pour deux, ça devrait pouvoir se régler. Par contre les deux autres ça risque d'être compliqué mais on s'adaptera avec », soutient-il.

Sur les attentes du public, Hubert Velud invite le public burkinabèà ne pas paniquer et rassure qu'il fera tout pour obtenir de meilleurs résultats. En revanche, le technicien des Etalons n'a pas apprécié la question sur son éventuel limogeage en cas de déconvenue lors de ces deux sorties. ««Écoutez, personne de sérieux ne parle de ça. Donc je ne m'intéresse pas à ces genres de rumeurs. Ce qui m'importe c'est le travail et de faire de bons résultats », a-t-il lancé avant d'ajouter qu'il est fort probable que l'équipe soit remanié lors du match contre l'Eswatini, tout en tenant compte de l'état de forme actuelle de chaque joueur.

Les journalistes présents à cette conférence de presse

Remporter la CAN ? il faut être réaliste…il y a des super favoris !

Ce qui était attendu lors de ces échanges avec les hommes de média, c'est l'avis du coach sur les chances des Etalons déjà qualifiés pour la CAN pour le sacre suprême en terre ivoirienne. Lui qui est critiqué pour manque d'innovations et de système de jeu propre à lui, de se reposer sur les lauriers de son prédécesseur Kamou Malo. Tout en affirmant qu'il y a des équipes mieux loties et plus favorites que les Etalons, Hubert Velud a dévoiléégalement les armes du Burkina Faso pour faire mouche lors de cette CAN.

« Remporter la CAN ? Il faut être réaliste. Il faut voir le rapport de force, il y a des supers favoris. Mais ce qui peut nous propulser, c'est le fait que la CAN se joue en Côte d'Ivoire, pratiquement chez nous. Donc les joueurs seront super motivés et c'est ça notre force. Prions aussi qu'il n'y ait pas de blessés parce qu'on n'a pas le réservoir de joueurs du Cameroun, du Maroc, de l'Egypte qui ont un réservoir de plus de 50 joueurs de niveau international. Mais nous allons utiliser nos forces, travailler plus afin de créer un vrai groupe pour y aller », a-t-il confié.

Mamadou ZONGO
Lefaso.net

Incivisme au Burkina : Merde ! Allez pisser ailleurs !

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Que sommes-nous devenus ? Nous ne cesserons jamais de poser la question. L'incivisme en matière de salubrité est un cancer à Ouagadougou. Il ne faut pas chercher des noises aux Burkinabè, brouillons et grandes gueules. Ces Burkinabè-là, ce sont les individus qui se soulagent n'importe où. Comme diraient certains sur les réseaux sociaux : ils détiennent le titre foncier du pays.

La semaine dernière, les photos d'un mini champ de maïs en plein milieu de la chaussée, sur le terre-plein, faisaient marrer certains internautes et offusquaient d'autres. Qui est-ce qui a bien pu se croire plus Burkinabè que les autres pour créer ce désordre ? Bref, ce n'est pas le sujet.

En dépit de l'instabilité sécuritaire et des difficultés économiques auxquelles sont confrontés les ménages burkinabè, les bars et les boîtes de nuit font le plein de monde du lundi au lundi. C'est du Non-stop et du No limit dans ces lieux de réjouissances. Les week-ends, dès 14h, difficile de trouver de la place pour stationner son véhicule. Ah, Ouaga et ses parkings, c'est une autre paire de manches pour les automobilistes.

Après avoir passé des heures à boire comme des puits perdus de Garango et de Falagountou, certains clients, en raison de l'état exécrable ou de l'insuffisance des toilettes des maquis, préfèrent s'aventurer sur les trottoirs, les ruelles et même devant quelques commerces qu'ils transforment en urinoirs à ciel ouvert. Malgré les interdictions. Cette attitude est à la fois sale et irresponsable. Chaque matin, les propriétaires de ces commerces se retrouvent impuissants et désolés en ouvrant leurs boutiques, confrontés à des odeurs nauséabondes.

Imaginez un instant trois, quatre, cinq personnes qui se succèdent pour vider leurs vessies devant ou à côté d'un kiosque, un restaurant après avoir ingurgité des bouteilles d'alcool ? De tels comportements sont de nature à faire fuir les clients et à faire chuter les recettes de nos pauvres mères, frères et sœurs. Ces images sont le reflet de notre société où l'on est prêt à marcher sur les plates-bandes d'autrui juste pour satisfaire son ego. La propriétaire d'une poissonnerie à Kilwin, la détentrice d'un kiosque à café et le surveillant d'une école technique à Tampouy ont à maintes reprises déploré les actes des “pisseurs” avec qui ils ont souvent maille à partir.

Les détenteurs des débits de boissons doivent sérieusement prendre en compte la question des installations sanitaires. Les municipalités pourraient également envisager l'installation de toilettes publiques mobiles dans les zones à forte fréquentation nocturne. Pisser utile pour l'agriculture, c'est possible.

Quant aux clients indélicats qui ont une envie pressante mais préfèrent arroser les murs d'écoles, bâtiments publics et privés malgré la présence des toilettes, ils doivent tout simplement être punis. C'est aussi et surtout valable pour ceux qui chient partout. Sinon, ce serait comme pisser dans un violon.

HFB
Lefaso.net

Décès de KIMA KIRSYAMBA Edmond : Faire-part

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« J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi…. » 2, Timothée 4 : 7-8

Sa majesté Naaba SAMAND BEGDO, chef de PIISI-ZAOCE (Koupéla)

Les grandes familles KIMA, GUIBRE, à Ouagadougou, Koupéla, Bobo Dioulasso, Cote d'Ivoire, Allemagne, France, Etats-Unis etc.

Les familles alliées, Kima, Guiatin, Yougbaré, Koussoubé, Tougma, Noba, Ouédraogo, Abga, Karambiri

La veuve Guiatin Bernadette à Wayalguin

Les enfants, Elisabeth, Aimé Sévérin, Joël, Guillène, Hervé, Pierrette,

Ont la profonde douleur de vous annoncer, le rappel à Dieu de leur père, Grand-père, oncle et frère,

KIMA KIRSYAMBA Edmond
Dans sa 85e année
Ce jour 24 Aout 2023 à Ouagadougou (Wayalguin)

Le programme des obsèques se présente comme suit :

• Jeudi 24 Août 2023

16h00mn : Levée du corps de la morgue CHU Yalgado à son domicile sis à Wayalghin

19h00 : Prière à son domicile sis à Wayalguin

• Vendredi 25 Août 2023

9h00mn : Départ pour le village à Koupéla (Goughin)
19h00mn : Veillée de prière

• Samedi 26 Août 2023

8h00 : Messe Absoute à l'Eglise de Goughin (Koupéla)
10h00 : Enterrement

Union de prières


Ecole supérieure des Métiers ferroviaires (ESMF) : SITARAIL lance le processus de recrutement d'étudiants pour la 9e promotion

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SITARAIL, dans une publication, annonce le lancement du processus de recrutement d'étudiants, au titre de l'année académique 2023–2024, pour la 9ème promotion de son Ecole Supérieure des Métiers Ferroviaires (ESMF), située à Bobo Dioulasso, au Burkina Faso.

* Filières de formation : « Exploitation », « Voie & Bâtiment » et « Matériel & Traction ».
* Niveau requis : BAC ou équivalent.
* Dépôt des dossiers de candidature pour le test : du 11 au 22 septembre 2023.
* Lieux de dépôt : Bobo Dioulasso, Abidjan et Ouagadougou.
* Date du test de recrutement : 02 octobre 2023 (détails, cf. affiche ci-joint).

Pour toutes informations complémentaires, veuillez contacter les numéros suivants : (+226) 75 38 27 27 et (+225) 27 20 31 81 60.

NB : L'ESMF, "vivier de l'expertise ferroviaire en Afrique de l'Ouest", est classée dans la catégorie des IPES de "Bonne qualité" par le ministère burkinabè en charge de l'Enseignement supérieur (classement 2023).

Transport ferroviaire : Le consortium Burkina 2050 demande l'annulation de la convention de 1994 entre l'État et le gestionnaire MSC

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Le consortium Burkina 2050 dénonce la mauvaise gestion du chemin de fer Burkina Faso-Côte d'Ivoire. Il a demandé l'annulation de la convention de 1994 entre l'Etat burkinabè et le gestionnaire Mediterranean Shipping Company (MSC). C'était au cours d'une conférence de presse ce jeudi 24 août 2023 à Ouagadougou.

« Le MPSR II est le troisième gouvernement que nous interpellons sur la mauvaise gestion du chemin de fer. Nous avons rencontré en décembre 2023, le Ministre des transports à ce sujet. Cela fait neuf mois, et nous n'avons pas eu de retour quand aux initiatives du gouvernement sur ce dossier critique. Par contre, une délégation du Consortium a été entendue par la Commission parlementaire mise en place par l'ALT pour s'informer sur le sujet. La promesse a été faite que nous aurons la copie du rapport et les conclusions des députés pour les prendre en compte dans nos activités futures. Les lettres adressées au Premier ministère et à la Mission résidente de Banque mondiale en 2022 sont restées sans suite », a indiqué la coordinatrice du consortium Burkina 2050, Nestorine Sangaré.

Madame Sangaré demande au gouvernement burkinabè de rompre la convention initiale en cours avec le gestionnaire MSC en invoquant les clauses suspensives parce que l'entreprise se contente d'utiliser le dispositif de gestion mis en place par Bolloré qui n'est pas performante. Elle demande également l'audit financier de la gestion du chemin de fer pendant les 28 ans écoulés pour apprécier la pertinence de la gestion par un privé comparée à l'Etat.

Lefaso.net

Ouagadougou : La police municipale met en fourrière 80 tricycles pour non respect des heures de pointe

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La Police Municipale de Ouagadougou a effectué une opération inopinée de contrôle du respect des heures de pointe des tricycles dans la commune le Mercredi 23 août 2023.

En effet, selon les dispositions du décret n°2012-559 PRES/PM/MTPEN/MEF/MICA/MATDS/MID du 05 juillet 2012 portant conditions et modalités d'exploitation à titre onéreux et pour compte propre des vélomoteurs, motocyclettes, des tricycles et quadricycles à moteur, la circulation des tricycles n'est autorisée que de 05h du matin à 19h.

Par ailleurs, tout tricycle en circulation au-delà de cette heure est en infraction. Au cours de ladite mission, environ quatre-vingt (80) tricycles ont été conduits en fourrière.

La Police Municipale invite les conducteurs de ces engins au strict respect de cette règlementation afin d'éviter tout désagrément.

Service de l'Information et de la Communication de la Police Municipale de Ouagadougou

Burkina/Interruption sécurisée de grossesse, droits et santé sexuels reproductifs : 15 prestataires sanitaires formés pour une amélioration de l'offre de service

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Le point focal pays de l'ONG Planned Parenthood Global (PPG), Moukaïlou Ouédraogo, a présidé la cérémonie d'ouverture de l'atelier de formation des prestataires sanitaires sur la clarification des valeurs en matière d'interruption sécurisée de grossesse (ISG) selon loi. Il a étéégalement question des prestations de service adaptées aux jeunes. Cette formation est financée par l'ONG PP Global au profit des prestataires sanitaires. C'était ce mardi 22 août 2023 à Ouagadougou.

Ils sont une quinzaine de prestataires sanitaires venus de Koudougou (région du Centre-ouest), de Bobo-Dioulasso (Hauts Bassins) et de Ouagadougou (Région du Centre) qui prendront part à cette formation sur la clarification des valeurs en matière d'interruption sécurisée de grossesse (ISG) selon la loi, et les prestations de service adaptées aux jeunes.

Vue des participants

Cette formation de cinq jours (22 au 26 août 2023 à Ouagadougou) sur l'ISG, mais également sur les DSSR (droits et santé sexuels et reproductifs) vise à renforcer les capacités des prestataires de santé des formations sanitaires concernées sur les droits en santé sexuelle et reproductive, y compris l'ISG et les approches jeunes en matière de santé sexuelle et reproductive.

Moukaïlou Ouédraogo, point focal pays de l'ONG PP Global

Il s'agira en clair, selon le point focal pays de l'ONG Planned Parenthood Global (PPG), Moukaïlou Ouédraogo, de renforcer leurs capacités sur la question des droits et santé sexuels reproductifs (DSSR), y compris l'ISG selon la loi au Burkina, et les approches en matière d'offre de services de qualité adaptée aux jeunes.

Prestataires de santé et spécialiste du domaine des DSSR et de l'ISG partagent leurs expériences et actualisent leurs connaissances

L'ISG, il faut le rappeler, est autorisée au Burkina par la loi pour protéger la santé de la femme enceinte, ainsi que dans les cas de viol, d'inceste, ou de grave malformation fœtale, mais cela est méconnu de l'opinion publique et même de certains prestataires de santé. Pour mener à bien leurs missions d'offre de service, les prestataires sanitaires ont besoin d'une clarification des valeurs pour améliorer la qualité des services offerts en matière de santé sexuelle et reproductive, y compris l'ISG selon la loi.

YZ
Lefaso.net

Burkina/Média : Rasmané Compaoré alias Rasmane Bassam range définitivement le micro

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El Hadj Rasmane Bassam, animateur de l'émission humoristique "Gnim yiiré" sur les antennes de Savane FM, est décédé ce jeudi 24 août 2023 des suites de maladie. C'est le groupe Savane médias qui a annoncé cette triste nouvelle.

L'émission de Rasmane Bassam, qui égayait les auditeurs de Savane FM, passait sur les antennes les lundis à partir de 21h et les samedis à partir de 15h.

L'inhumation est intervenue ce même jour dans l'après-midi au cimetière de Karpala.

Lefaso.net

Burkina/Système de stockages alimentaires : Les différents acteurs s'approprient la stratégie nationale pour une mise en œuvre réussie

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Le ministre de l'agriculture, le commandant Ismaël Sombié, a présidé, au cours de la matinée de ce jeudi 24 août 2023 à Ouagadougou, l'atelier national de présentation de la stratégie nationale de stockage des réserves alimentaires au Burkina Faso. C'était en compagnie du Dr Diakalia Son, directeur du stock alimentaire assurant l'intérim du directeur général de la SONAGESS-BF, structure organisatrice de l'atelier.

Cet atelier, organisé par la Société nationale de gestion des stocks de sécurité alimentaire du Burkina Faso (SONAGESS-BF), avec l'accompagnement financier du Programme de résilience du système alimentaire en Afrique de l'Ouest, composante Burkina Faso (PRSA-BF), vise à vulgariser la stratégie nationale de stockage auprès des acteurs institutionnels et privés, œuvrant dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans notre pays.

Mais de façon spécifique, il s'agira, entre autres, de présenter la stratégie et le dispositif national de stockage des réserves nationale et régionale à ces acteurs. Tout en échangeant également avec eux sur les mécanismes et politiques en matière de stockage et en recueillant leurs attentes sur la mise en œuvre de cette stratégie nationale de stockage.

Le commandant Ismaël Sombié, ministre en charge de l'agriculture

Cette stratégie dont il est question est mise en œuvre depuis 2020 et présente certainement, selon le ministre en charge de l'agriculture, le commandant Ismaël Sombié, des évolutions au regard des facteurs comme la pandémie à coronavirus, la crise russo-ukrainienne, le contexte sécuritaire délétère de notre pays et les mutations continues du climat et des écosystèmes. C'est pourquoi, selon lui, il faut échanger avec les différents acteurs du domaine pour garantir le succès de sa mise en œuvre. Tout en indiquant que le Burkina est en possession d'un référentiel encadrant l'ensemble des opérations concourant à un meilleur stockage des réserves alimentaires nationales, il est important de le vulgariser afin de mettre au même niveau d'information l'ensemble des parties prenantes.

Dr Diakalia Son, directeur du stock alimentaire à la SONAGESS, assurant l'intérim du directeur général

En somme, cet atelier permettra, selon Dr Diakalia Son, de faire une diffusion de ladite stratégie auprès de ces acteurs au regard de l'évolution de la situation et surtout en prenant en compte la question sécuritaire, tout en faisant des recommandations afin d'améliorer le système de stockage au Burkina.

La mise en œuvre de cette stratégie a été actée, selon le ministre, par les autorités dans le but d'assurer une sécurité alimentaire et nutritionnelle aux Burkinabè. Et ce, dans le but du renforcement des instruments de stockage pour faire face aux récurrents chocs alimentaires et nutritionnels occasionnés par les bouleversements climatiques observés depuis de nombreuses années. Cela en lien avec la Politique nationale de sécurité alimentaire et nutritionnelle (PNSAN) qui est le cadre normatif de référence et d'orientation des actions du gouvernement et de ses partenaires pour lutter contre l'insécurité alimentaire et nutritionnelle, a-t-il détaillé.

Vue des différents acteurs impliqués dans le système de stockage alimentaire au Burkina Faso

Tout en rappelant qu'il s'inscrit dans une dynamique d'engager un certain nombre de réformes qui seront soumises au gouvernement pour appréciation, qui vont permettre d'aller vers des actions beaucoup plus concrètes et pragmatiques dans un délai court, pour optimiser l'ensemble du potentiel existant afin d'atteindre l'autosuffisance alimentaire.

YZ
Lefaso.net

Burkina/Tourisme : Le SITHO et la VITHRO se tiendront du 26 au 29 octobre 2023

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Le secrétaire général du ministère en charge de la culture, Betamou Fidèle Aymar Tamini, a annoncé ce jeudi 24 août 2023 à Ouagadougou, la tenue du Salon international du tourisme et de l'hôtellerie de Ouagadougou (SITHO) et de la Vitrine internationale du tourisme, de l'hôtellerie et de la restauration de Ouagadougou (VITHRO) du 26 au 29 octobre 2023.

Placée sous le thème : « Promotion du tourisme interne, facteur de résilience », avec le Centre-sud (Manga) comme région invitée d'honneur, l'événement se déroulera sur le site du Salon international de l'artisanat de Ouagadougou (SIAO).

Selon le secrétaire général du ministère en charge de la culture, après la suspension du SITHO 2017, le gouvernement de la transition à travers le ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme, a décidé cette année de relancer cet évènement dédiéà la promotion du tourisme burkinabè en particulier, et africain en général.

Les innovations majeures de l'évènement sont entre autres la mise à la disposition des régions, d'un pavillon, dans l'objectif de leur permettre de présenter leurs spécificités touristiques et susciter des fréquentations sur les sites. Il y aura aussi le retour du biotope constitution d'un espace de présentation de quelques animaux sauvages afin d'attirer les curiosités.

Betamou Fidèle Aymar Tamini, secrétaire général du ministère en charge de la culture

Nous aurons au programme du SITHO 2023, les activités telles qu'une cérémonie d'ouverture, des concours, des excursions grand public, un Educ'tour, des animations culturelles, un espace B2B, un espace enfants, un espace biotope. Il y aura aussi un cross populaire le matin pour l'ensemble des acteurs du tourisme, des conférences/Panels thématiques, des espaces d'expositions, un espace gastronomique", a laissé entendre Betamou Fidèle Aymar Tamini.

Il est plus que jamais opportun d'instaurer une stratégie de relations presses riches et fructueuses entre le ministère et le monde des médias dans le but de vendre la destination Burkina Faso, suggère Fidèle Tamini.

Carine Daramkoum
Lefaso.net


Coopération : Les BRICS bientôt élargis à six nouveaux pays dont deux d'Afrique, l'Égypte et l'Éthiopie

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Le groupe des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) va accueillir six nouveaux pays d'ici janvier 2024.

L'annonce a été faite ce jeudi 24 août 2024 par le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, lors d'une conférence de presse conjointe des dirigeants de l'organisation.

Selon plusieurs sources d'information, il s'agit de l'Iran, de l'Argentine, de l'Arabie saoudite, des Émirats arabes unis, de l'Égypte et de l'Éthiopie.

Lefaso.net

Burkina/Sport : La première édition du salon du Fitness aura lieu du 1er au 3 septembre 2023

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La première édition du salon du Fitness (Sal'fit) va se tenir du 1 er au 3 septembre 2023 au SIAO , plus précisément au pavillon du Soleil levant. L'annonce a été faite par le comité d'organisation ce mercredi 23 août 2023 lors d'une conférence de presse, à Ouagadougou. Le comité d'organisation souhaite faire découvrir au public les bienfaits du fitness.

Au menu de cette manifestation on peut citer : Des animations (Step, Zumba, Strong by Zumba, Yoga), la présentation des salles de sport, une compétition inter-participants (Step, body-bulding, strong man, défi intégral ), une compétition inter-sponsors, des conférences, une exposition de salles de sport, d'équipementiers, d'articles de sport, de consultation de nutritionniste, un semi-marathon de Kia (21 Km) et un tournoi de pétanque de Kia. Les gagnants des différentes compétitions recevront des prix. Les conférences vont porter sur : Le sport chez les femmes, les compléments alimentaires sportifs, la musculation des aînés et la prise en charge des blessures au sport.

Le parrain de cette première édition est le champion de triple saut, Hugues Fabrice ZANGO

Une vingtaine de coachs venus de pays de la sous région sont attendus. Le pays invité d'honneur est la Côte d'Ivoire. Le comité d'organisation a expliqué ce choix par le fait que le Burkina Faso et ce pays voisin sont liés sur de nombreux points.
La participation par jour est de 1 000 FCFA. Pour participer aux trois jours, il faut débourser 5 000 FCFA. Cela donne droit à un t-shirt. En ce qui concerne les stands, pour les salles de sport, il faut payer 100 000 FCFA, pour ceux de vente d'articles, 150 000 FCFA, pour les nutritionnistes et les bars à fruits/ jus, 75 000 FCFA.

Durant ces 3 jours, les organisateurs espèrent que de nombreux partenariats vont être créés pour les professionnels du domaine. Les populations ont été invitées à sortir massivement, car, le fitness contribue au bien-être et est bon pour la santé.

Christelle Ouédraogo/ Zombré a invité les populations à sortir massivement

« L'idée a germéà partir d'une expérience personnelle. Nous nous sommes mises au sport il y a deux ans. On s'est rendu compte qu'il y'avait pas un événement au Burkina Faso qui réunissait tous les acteurs du monde du sport. Le fitness englobe plusieurs aspects. L'idée est de faire découvrir tous les concepts qu'il y a autour du fitness » a justifié la présidente du comité d'organisation, Christelle Ouédraogo/ Zombré.

Sal'fit est une initiative de l'agence d'évènementiel Perfect Day et la salle de sport Challenge Fitness.

Pour plus d'informations, contactez le :
+226 66 22 32 32
+226 71 06 34 76

Lefaso.net

Burkina/Lutte contre le mariage d'enfants : Eulalie Yerbanga Ouédraogo, ambassadrice nationale pour 2023-2024

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Le ministère de la Solidarité, de l'action humanitaire, de la réconciliation nationale, du genre et de la famille a organisé la première session ordinaire de l'année 2023 de la plateforme multisectorielle de prévention et d'élimination du mariage d'enfants au Burkina Faso. Cette rencontre a eu lieu ce jeudi 24 août 2023, à Ouagadougou.

Elle a été l'occasion de dévoiler le nom de la championne nationale de lutte contre le mariage d'enfants pour la période 2023-2024. Il s'agit de la coordonnatrice de la Coalition nationale contre le mariage d'enfants au Burkina (CONAMEB), Eulalie Yerbanga/ Ouédraogo. Sur 33 candidatures proposées, elle a été choisie à l'unanimité par le comité de sélection composé de 11 membres. Ce comité s'est basé sur sa personnalité et son engagement.

Fonctionnaire à la retraite, cette amazone a fait de cette lutte, son cheval de bataille depuis 2013. Elle est entrée dans la fonction publique en « catégorie C » avant de gravir les échelons en occupant plusieurs postes de responsabilités tels que : cheffe de service, directrice de service, directrice régionale de la promotion de la femme du Centre, conseillère technique de ministre, etc.

Les participants vont faire des propositions pour renforcer la lutte contre le mariage forcé des enfants

Durant la révolution, elle a été dans l'Union des femmes du Burkina(UFB), puis dans le milieu politique pour défendre les droits des femmes. De 2007 à 2012, elle a étéélue député de la province du Kadiogo, mandat au cours duquel elle a été membre du parlement de la CEDEAO. Elle a été en outre, membre du bureau du Réseau des femmes africaines ministres et parlementaires, section du Burkina. Elle est membre de l'ONG Voix de femme. Eulalie Yerbanga/ Ouédraogo a également été la chargée du projet de renforcement des capacités des organisations de la société civile pour l'abandon du mariage d'enfants (PRECOSC -AME) dans la région de la Boucle du Mouhoun de 2018 à 2021.

Eulalie Yerbanga/ Ouédraogo a confié qu'il est indispensable de ramener l'âge du mariage de la jeune fille à 18 ans

Un plaidoyer pour ramener l'âge légal du mariage des filles à 18 ans

Durant les deux ans de sa mandature (sous le signe du bénévolat), Eulalie Yerbanga/ Ouédraogo va être une ambassadrice de cette cause qui tient à cœur le ministère, en menant des plaidoyers auprès des autorités, des partenaires techniques et financiers et des populations. Déjà, elle a profité de la présence de la ministre de la solidarité, de l'action humanitaire, de la réconciliation nationale, du genre et de la famille, Nandy Somé/Diallo pour interpeller les autorités sur la nécessité de faire réviser le Code des personnes et de la famille (CPF). En effet, ce code autorise le mariage à une fille de 17 ans tandis que pour les hommes, il est de 20 ans. « Le juge peut même autoriser le mariage de la fille à 15 ans et celui du garçon à 18 ans. C'est un texte qui autorise le mariage d'enfants. Pour obtenir un consensus, cela met du temps. A notre niveau, nous avons obtenu dans la correction de cette disposition d'élever l'âge du mariage légal de la fille à 18 ans. Mais, il y a d'autres éléments qui font que si on adopte rapidement le code, nous allons être confrontés à un problème au niveau social. Nous pensons que le bout du tunnel est proche. Tous les acteurs ont eu chacun leur compte. Maintenant, vous savez que le pays a une priorité qui est la paix. Il s'agit de la priorité principale. Avec les autres éléments, il faut aller doucement sans pour autant les occulter. C'est pour cela que j'attire l'attention du gouvernement » a rapporté Eulalie Yerbanga/ Ouédraogo. Elle a signifié que ce prix est le fruit d'un travail collectif.

Nandy Somé/Diallo a notifié que le mariage précoce et forcé des filles ralentit le développement d'un pays

Faire le point

Il faut rappeler que cette première session de la Plateforme a été le lieu de faire le bilan à mi-parcours pour la période de janvier à juin du Plan de travail annuel (PTA) 2023 de la stratégie nationale de prévention et d'élimination du mariage d'enfants. « Il était important de tirer des enseignements afin de définir les perspectives parce que le pays a adopté une stratégie nationale de lutte contre le mariage d'enfants. Malgré ce dispositif, la problématique persiste toujours dans notre pays. Il est important qu'on puisse toujours s'entretenir pour voir les goulots d'étranglement et prendre des initiatives afin que cette pratique ne perdure pas dans notre pays. C'est dans ce cadre qu'on a innové en distinguant une championne de la lutte qui va porter le combat au regard de ses valeurs morales et intrinsèques afin qu'on puisse venir à bout du mariage d'enfants » a souligné Nandy Somé/Diallo.

Les acteurs ont promis de ne ménager aucun effort pour atteindre les objectifs en la matière

La plateforme multisectorielle de prévention et d'élimination du mariage d'enfants est l'instance nationale de pilotage de toutes les actions en matière de promotion de l'abandon du mariage d'enfants.

SB
Lefaso.net

Décès de TOUGOUMKODOGO Tilado Augustin : Faire part

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La grande famille TOUGOUMKODOGO, SOULE, YANDA, SEBGO,
Mme TOUGOUMKODOGO/YOUGBARE Y. Martine épouse de feu TOUGOUMKODOGO Tilado Augustin, les enfants Alfred, Inès Elodie, Stanislas Marie Firmin, les petits-enfants ainsi que les familles alliées SAWADOGO, BASSOLE, ZILBALA, OUEDRAOGO ont la profonde douleur de vous faire part du décès de leur grand-père, père et époux M. TOUGOUMKODOGO Tilado Augustin.

Décès survenu le 23 /08/2023 aux environs de 20h00.

PROGRAMME DES OBSEQUES

01/07/1957 - 23/08/2023
 Jeudi 24 AOUT 2023
- 20H00mm : veillée de prière au domicile du défunt en face du mur coté sud de l'école Sinyiri « C »
 Vendredi 25 AOUT 2023
- 07h00mn : levée du corps à la morgue de l'hôpital de Bogodogo suivi d'une escale au domicile
- 09H00mn : Messe et absoute à la coordination sainte famille de Nazareth non loin de katr-yaar à 100m de noos-yaar suivie de l'enterrement à Taabtinga.

PAIX A SON AME !

Burkina/ Loi sur l'interruption sécurisée de grossesse (ISG) : « Il vaut mieux que le dispositif législatif soit revu afin de faciliter un certain nombre de choses …», conseille le champion national en SR-PF

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Dans cette interview que le champion national en santé de la reproduction/Planning familial (SR-PF) a accordée à votre media en ligne Lefaso.net, Boureihiman Ouédraogo vous dit tout sur l'état des lieux des droits et santé sexuels et reproductifs (DSSR) et de la loi sur l'interruption sécurisée de grossesse (ISG) au Burkina. C'était lors d'un atelier de formation des prestataires sanitaires dont il était le formateur. Lisez-plutôt !

Lefaso.net : En tant que champion national en SR-PF, quel est l'état des lieux des DSSR dans notre pays ?

Boureihiman Ouédraogo (BO) : Dans l'ensemble, il faut noter que le Burkina dispose d'un arsenal juridique très fourni, parce qu'il y a des conventions, des traités, des protocoles aux niveaux national, régional et international et il y a des référentiels nationaux qui confèrent à tout Burkinabè un certain nombre de droits en matière des droits et santé sexuels et reproductifs.

Ces textes sont pertinents et le fait qu'ils existent est un atout pour le Burkina, mais leur application sur le terrain pose un certain nombre de problèmes. Et il y a des obstacles qui sont liés à l'effectivité de ces droits qui sont de plusieurs ordres, notamment, religieux, culturels et même au niveau des prestations de service. Il y a pas mal d'obstacles qui font que l'application de ces textes reste à désirer et il y a des efforts de plaidoyer à faire pour leur effectivité sur le terrain.

Lefaso.net : Parlant des obstacles que vous évoquiez, que peut-on retenir en résumé ?

BO : Il faut d'abord préciser qu'il y a la méconnaissance des textes par le public, les incohérences et l'imprécision de certains termes utilisés sur le terrain. Et surtout en ce qui concerne l'interruption sécurisée de la grossesse (ISG) selon la loi. Il y a des dispositions qui sont fournies dans la loi mais qui nécessitent quand même des précisions pour faciliter leur application sur le terrain. A titre d'exemple, on a des contraintes qui sont liées à certains articles (513-514) de la loi qui parlent de l'accès à l'ISG sous condition, notamment en cas de viol, d'inceste, de malformation grave et sous prescription d'un médecin et dans un délai de 14 semaines.

Des conditionnalités qui ne sont pas suffisamment explicites pour permettre l'applicabilité de l'ISG sur le terrain. Je parle de cela, parce que par exemple la question des 14 semaines et la matérialisation de la détresse de la patiente qui sont souvent difficiles à prouver dans certaines localités par manque de médecins ou de matériel, mais aussi beaucoup d'autres limitations, parce que les réalités et les défis varient en fonction des localités où on se trouve.

Lefaso.net : Toujours concernant les obstacles, vous parliez de valeurs religieuses ou culturelles qui freinent l'application de ces DSSR. Pouvez-vous nous en dire plus ?

BO : On les considère comme des freins, parce qu'il y a certains de nos us et coutumes, religions, et autres qui disent que l'avortement est un crime. Alors qu'il ne s'agit pas d'avortement tout azimut, mais d'intervention thérapeutique et dans les cas bien précis par la loi.

Lefaso.net : Qu'en est-il de l'objection de conscience que certains classent dans les freins à l'effectivité de l'ISG ?

BO : Pour faire plus simple, l'objection de conscience est le refus de respecter la prescription d'une loi, dont les effets sont jugés contraires à ses propres convictions idéologiques, morales ou religieuses et même là encore, c'est fait en respectant certaines conditions. Il s'agit d'un refus positif d'agir contre ses convictions, et non pas un refus de ne pas agir.

Lefaso.net : Dans votre exposé, vous parlez aussi d'incohérences et de lacunes limitant l'application de l'ISG sur le terrain. Quelles sont-elles ?

BO : Parlant d'incohérences et de lacunes dans l'application de l'ISG au Burkina, il faut dire qu'il y a certains aspects qui sont liés à la faisabilité sur le terrain, parce que dans le même pays, les textes ne disent pas la même chose. A titre d'exemple, dans le code de santé publique où on parle de plusieurs médecins devant attester l'accord, le code pénal et la loi sur la SSR (soins de suite et de réadaptation) parlent d'un médecin.

Toujours dans les incohérences, le code de santé publique par exemple évoque l'avortement seulement dans les cadres thérapeutiques, alors que le code pénal évoque d'autres aspects. En plus de ces incohérences, il y a aussi le protocole de Maputo ratifié par le Burkina qui évoque la question de la santé mentale comme donnant droit aussi à l'ISG, alors que nos textes ne l'évoquent pas. Et la liste n'est pas exhaustive, parce qu'il y a un certain nombre d'aspects qui méritent d'être améliorés pour rendre effective l'ISG.

Lefaso.net : Cette loi sur l'ISG n'est-elle pas dépassée au regard des défis auxquels le Burkina est confronté, notamment la question sécuritaire ?

BO : C'est pour cela qu'on parle de l'adapter au contexte actuel, parce que, rien qu'en se basant sur la limitation des 14 semaines, les questions de plateau technique, on voit qu'elle n'est plus réellement d'actualité au regard de la situation actuelle du pays. C'est pour cela que je dis qu'il faut ouvrir l'œil et le bon pour se rendre compte qu'il y a de quoi revoir cette loi en tenant compte de notre environnement et du contexte actuel, parce qu'avec la recrudescence de ces viols dus au contexte d'insécurité, il vaut mieux que le dispositif législatif soit revu afin de faciliter un certain nombre de choses comme la délégation des taches par exemple pour donner la possibilitéà d'autres personnes d'agir, bien sûr en les outillant de ce qu'il faut et en s'assurant que ces personnes ont reçu des formations adéquates et qu'elles disposent des compétences qu'il faut et qu'elles peuvent offrir ce service sans danger, en un mot avoir des personnes accréditées, parce que ça sera des formations ciblées dans un cadre bien défini au regard de la situation actuelle. Et cela est faisable et c'est une question de volonté politique.

YZ
Lefaso.net

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