Quantcast
Channel: leFaso.net
Viewing all 86294 articles
Browse latest View live

Développement endogène durable : ASMADE et ses partenaires pour l'épanouissement des populations burkinabè

$
0
0

La santé, l'éducation, l'alimentation et l'insertion socioprofessionnelle sont des domaines sur lesquels l'Association Songui Manégré/ Aide au Développement Endogène (ASMADE) s'appuie pour la mise en œuvre de ses objectifs. En vingt-quatre années d'existence au Burkina Faso, elle se reconnait à travers ses activités menées sur le terrain en faveur de la lutte contre la pauvreté.

Trois millions de bénéficiaires dans les domaines de la santé, de l'éducation, de l'insertion professionnelle, de l'appui à l'autonomisation des femmes ; ce sont les réalisations que l'O.N.G. (Organisation non gouvernementale) ASMADE enregistre chaque année depuis sa création. L'ONG s'est donné pour mission d'accompagner les initiatives individuelles et collectives pour un développement durable.

Pour mener à bien ces tâches, ASMADE ciblent différents acteurs que sont les enfants, des communautés villageoises, des femmes et des jeunes des dirigeants et des décideurs. Ses partenaires bénéficient des formations dans des domaines de l'éducation, la restauration, la transformation des produits locaux, etc. lesquelles formations sont aussi dispensées aux différentes communautés.

Une approche participative pour l'atteinte des objectifs fixés

« On ne développe pas mais on se développe » , cette pensée de Joseph KI ZERBO illustre l'engagement de l'ONG ASMADE, qui s'appuie sur les ressources locales disponibles pour booster le développement. Sa prioritéétant le développement endogène, l'ONG ratisse large en incluant les différents acteurs concernés dans ses activités. Pour ce faire, bénéficiaires et partenaires techniques et financiers travaillent en synergie. Cette synergie d'action permet à l'ONG d'engranger une mutualisation des compétences. La présidente d'une association de transformatrices et actrice de l'ONG ASMADE, Mamounata KARGOUGOU est l'exemple d'une femme entrepreneure et partenaire de l'ONG. « Je suis heureuse et fière de participer à la lutte contre le chômage et la pauvreté en créant moi-même des emplois » a-t-elle souligné.

Chaque groupe cible est donc appeléà apporter le changement par sa participation à travers les activités de l'ONG. Celle-ci est active dans sept régions du Burkina : Centre, Plateau Central, Centre Sud, Centre nord, Centre ouest, Centre Est et Boucle du Mouhoun. Plusieurs volets dont l'approche genre, l'éducation, la protection sociale qui sont pris en compte dans le processus de développement de la structure.
Malgré ses prouesses, l'ONG fait face à des défis tels que le renforcement des supports de communication, le développement d'un centre de formation polyvalent pour jeunes en vue de valoriser leurs potentialités et l'extension de la couverture de la protection sociale.

En rappel, ASMADE a été créée en 1994 et agréée ONG en 2006. Elle a à son actif cinq distinctions et reconnaissances dont la plus récente est le Chevalier l'ordre du mérite de la Santé et de l'action sociale avec agrafe Santé obtenu en 2018.

R. Ouédraogo
Lefaso.net


ASMADE : Ce qu'en disent ses partenaires

$
0
0

Aimé KONKISRE/PAJ point d'accueil jeunesse

L'ONG ASMADE nous accompagne dans plusieurs domaines notamment le volet formation et accompagnement. Dans ce domaine, elle nous accompagne dans la rédaction des curricula vitae (CV) et les entretiens d'embauche. Elle nous aide à obtenir des stages et organise des conférences-débats à notre profit. ASMADE initie les jeunes de la structure à la technique de prise de parole en public également.

Aimé KONKISRE

Chaque année, nous organisons des prestations théâtrales, des reboisements. Il y a aussi le volet santé sexuelle reproductive. A cet effet, il y a un projet qui accompagne les vendeuses ambulantes afin qu'elles puissent adopter une vie sexuelle responsable.

Je suis à ASMADE depuis 2005 et je puis vous assurer que nous collaborons parfaitement.

Nous souhaitons que l'ONG implique davantage les jeunes dans ses différentes activités et crée beaucoup d'opportunités pour eux parce qu'ceux-ci sont en quête d'emploi.

Inoussa OUEDRAOGO/ Union régionale des mutuels de santé de la région du Centre

Nous bénéficions d'un accompagnement technique, financier pour mener à bien nos activités. Notre collaboration est vivante depuis 2009. Conjointement à notre objectif qui est l'amélioration des conditions de vie des populations à travers la protection sociale, l'ONG nous dote de moyens.

Inoussa Ouédraogo

Larba PILGA /Directeur général de la jeunesse et de l'éducation permanente/ Ministère de la jeunesse et de la formation professionnelle

L'ONG ASMADE travaille avec le Ministère en charge de la jeunesse depuis les années 2004. C'est une ONG qui intervient dans l'éducation des jeunes et le développement endogène. Un partenariat a donc étéétabli avec le Ministère de la jeunesse pour bénéficier de l'accompagnement institutionnel.

Dans le cadre du partenariat, le Ministère accompagne l'ONG ASMADE sur les plans technique et institutionnel pour faciliter la mise en œuvre de ses activités. En revanche l'ONG ASMADE aussi soumet au Ministère ses programmes et rapports d'activités et sollicite son soutien pour mener à bien ses actions.

Larba Pilga

Le Ministère accompagne l'ONG ASMADE au regard de la pertinence de ses interventions et de sa crédibilité. Laquelle crédibilité lui a valu des distinctions honorifiques.

La collaboration avec l'ONG ASMADE doit être renforcée. Chaque partie doit redoubler d'efforts pour que nous puissions ensemble prendre efficacement en charge les questions d'éducation des jeunes.

Juliette COMPAORE/COMPAORE, l'autre nom de l'engagement communautaire

$
0
0

Au départ, le monde du développement communautaire est sa passion, aujourd'hui elle en a fait son métier. Juliette COMPAORE, secrétaire exécutive et membre fondatrice de l'ONG ASMAD est une femme battante pleine d'espoir qui consacre son temps à la promotion de tous les acteurs du développement.

Pour avoir passé plus d'un quart de siècle dans des organisations communautaires, elle maitrise les différents contours des projets et programmes de développement. Femme engagée, militante pour le développement, Juliette COMPAORE s'est forgée au fil des années à promouvoir la ressource humaine, qui selon elle, est gage de développement. Elle croit en la potentialité de la population active dans les divers domaines du développement. Ses débuts dans le domaine des organisations pour le développement sont évocateurs.

Née d'un père qui était très engagé pour le développement du monde rural, Juliette COMPAORE a appris très tôt à s'investir dans ce domaine. Elle commence comme animatrice dans une fédération de groupements (Fédération Wend Yam de Kulkinga). Cette première expérience lui permet d'accompagner des groupements dans la gestion des banques de céréales et des moulins à grains. Pour mener à bien son travail d'animatrice elle a dû suivre des formations dans ce domaine. Au fil des années, elle va nouer des contacts avec des acteurs de la coopération pour le développement.

Et par la suite, Juliette COMPAORE est recrutée au CREPA (centre régional pour l'eau potable et l'assainissement) comme consultante d'appui à la promotion des innovations en matière d'eau d'hygiène et d'assainissement. C'est en faisant ses preuves dans ces différentes structures qu'elle va murir son projet de mise en place de structure d'appui au développement qui va se concrétiser par la création d'ASMADE en 1994 en collaboration avec d'autres personnes.
Celle qui est à la tête de l'ONG ASMADE depuis 2008 capitalise vingt-huit ans de service dans le domaine des organisations de développement.

A quarante-huit ans, Juliette COMPAORE se projette encore pour l'atteinte de son objectif qui est celui de voir les populations mettre en œuvre leurs capacités, « chaque personne est porteuse d'un savoir et peut participer aux actions communes pour induire le changement souhaité» laisse-t-elle entendre.
Son abnégation au travail lui a valu plusieurs postes dans des organismes nationaux et internationaux tels que l'ONG Aquadev et le Réseau Aster international basé en France.

Diplômée en sciences sociales, juridiques et politiques, Juliette COMPAORE continue de se former dans divers domaines liés aux questions de développement.
Mariée et mère de trois enfants, Juliette COMPAORE a un agenda très chargé. Ses journées se résument à l'installation, à la consultation de ses instances du jour, à la gestion des urgences en collaboration avec l'administration et enfin à l'exécution de ses différentes tâches.

R. Ouédraogo
Lefaso.net

Cinéma : La 6e édition des Sotigui Awards se déroulera du 11 au 13 novembre 2021 à Ouagadougou

$
0
0

Le comité d'organisation des "Sotigui Awards" avec sa tête, son président Kevin Mone, a animé, ce samedi 4 septembre 2021 à Ouagadougou, une conférence de presse pour annoncer la tenue effective de la 6e édition de la cérémonie de récompense des acteurs-comédiens qui se tiendra du 11 au 13 novembre 2021. Le comité a également dévoilé la liste des nominés de cette édition et les différentes innovations majeures prévues.

Après la 5e édition tenue à Paris en France, c'est la capitale Burkinabè qui accueillera la 6e cérémonie de récompense des acteurs du cinéma africain et de la diaspora dénommée "Les Sotigui Awards". Elle se tiendra du 11 au 13 novembre 2021 à Ouagadougou et sera placée sous le thème « Statut de l'artiste et rémunération équitable des acteurs comédiens du cinéma africain et de la diaspora ».

C'est l'annonce qui a été faite ce 4 septembre 2021 à Ouagadougou, au cours d'une conférence de presse animée par le comité d'organisation. Ainsi, ils sont au total 38 acteurs et comédiens du monde du cinéma africain et de la diaspora nominés pour cette 6e édition des Sotigui Awards. Des acteurs et comédiens issus des pays comme le Burkina Faso, le Congo Brazzaville, le Cameroun, le Mozambique, le Sénégal, le Maroc, le Nigeria, le Kenya, le Gabon, la Tunisie, la Namibie, La Réunion, l'Algérie, la Côte d'Ivoire, etc.

Kevin Mone, président du comité d'organisation des Sotigui Awards 2021

Les Sotigui Awards 2021 seront, selon le président du comité d'organisation, Kevin Mone, ouverts à toutes les catégories et il sera désigné un ‘'Prix du public africain ‘'. Et selon ses explications, le lauréat de ce prix sera choisi parmi les nominés dans la catégorie long métrage des six régions de l'Afrique et les nominés dans les catégories "Meilleure interprétation féminine et masculine Série TV". Tout en précisant que c'est un prix qui sera décerné par le vote du public à travers le site de l'académie www.academiedessotigui.orgà partir du 15 septembre 2021.

Comme chaque année, cette 6e édition enregistre des innovations majeures. Et pour le comité d'organisation, il est prévu, entre autres, la mise en place d'un réseau social dédié uniquement aux professionnels du cinéma et de l'audiovisuel africain et de la diaspora dénommé« Mov'Up" et la contribution des ministères en charge de la culture.
Pour le choix des nominés, Kevin Mone a fait savoir qu'il est basé sur plusieurs critères, notamment la crédibilité de l'acteur dans le rôle qu'il interprète, sa capacité et sa qualité de conversation ainsi que la qualité du jeu d'acteur.

Les journalistes découvrant la date et le programme d'activités de la 6e édition des Sotigui Awards

Plusieurs activités prévues

Au cours de cette conférence de presse, le comité d'organisation a également dévoilé la liste des activités prévues cette année. Des activités allant des projections de films à l'institut français en passant une conférence publique et des panels sur le thème choisi. A ces activités, s'ajoutent des séances pratiques de formation en jeu d'acteur.

L'apothéose aura lieu le 13 novembre à Canal Olympia Yennega Ouaga 2000. Au programme de cette nuit, il y a la récompense des meilleurs acteurs et comédiens africains et de la diaspora, des hommages à titre posthume et des trophées d'honneur seront remis à des acteurs.

La conférence de presse a connu la participation de la réalisatrice burkinabè Apolline Traoré et de l'acteur Gustave Sorgho qui sont tous les deux revenus sur l'importance du thème choisi. Car selon eux, malgré leur contribution à l'enrichissement de la culture ainsi qu'à l'affirmation de l'identité culturelle des peuples, les acteurs-comédiens africains vivent dans la pauvreté. « C'est pourquoi, cette réflexion se veut participative afin d'aboutir à des recommandations pour une rémunération équitable et une meilleure prise en charge des artistes en général et en particulier des acteurs-comédiens de cinéma », plaide Apolline Traoré.

Yvette Zongo
Lefaso.net

Maison de l'entreprise du Burkina Faso : Karim Ouattara prend les commandes

$
0
0

La Maison de l'Entreprise du Burkina Faso a un nouveau Directeur général depuis ce 1er septembre 2021, en la personne de Karim Ouattara. Il remplace à ce poste Lancina Ki, admis à faire valoir ses droits à la retraite à la date du 31 août 2021.

La passation administrative de service a eu lieu en présence des membres du Conseil d'Administration de la MEBF, du personnel et des partenaires de l'institution.

Karim Ouattara (DG entrant), Daouda Diallo (représentant le CA), Lancina Ki (DG sortant)

Karim Ouattara est un cadre de la Maison de l'Entreprise depuis près d'une vingtaine d'années. Le Directeur Général sortant, Lancina Ki, a souhaité que le personnel et les partenaires continuent d'apporter à son successeur le même soutien dont il a bénéficié, pour qu'il réussisse sa mission au grand bonheur du secteur privé burkinabè.

Une vue du personnel

Lancina Ki a été félicité pour les résultats importants enregistrés durant les 3 ans et demi passés à la tête l'équipe opérationnelle de la MEBF. Il a affirmé qu'il restera à la disposition du secteur privé, en apportant son expertise partout où elle est requise. Des cadeaux ont été remis àLancina Ki qui part à la retraite le jour de son anniversaire.

Lefaso.net
Source : Maison de l'Entreprise du Burkina

Guinée : Tentative de coup d'État en cours à Conakry

$
0
0

Depuis les environs de 8h de ce dimanche 5 septembre 2021, des tirs nourris sont entendus autour de Sékoutoureya, le palais présidentiel où se trouve le chef de l'État, Alpha Condé.

Le Président est cependant bien portant et placé en lieu sûr,sous la protection de sa garde présidentielle.

Lefaso.net
Source : Jeune Afrique

Fin des Jeux Paralympique Tokyo : Dominique NANA encourage les athlètes Burkinabè

$
0
0

Du 24 août au 5 septembre 2021, Victorine Guissou et Ferdinand Compaoré ont représenté le Burkina aux Jeux Paralympiques de Tokyo. Loin de la mère patrie, ils ont donné le meilleur d'eux-mêmes. Si leur objectif, qui était d'offrir au Burkina Faso une médaille, n'a pas été atteint, nos vaillants représentants n'ont pas démérité. Mieux, ils ont amélioré leurs performances.

Au delà de l'aspect compétition, cette participation est une belle expérience pour eux car ils se sont frottés à la crème du sport paralympique mondial.
Le Ministre des Sports et des Loisirs, au nom du gouvernement, des sportifs et sympathisants du sport national, exprime toute sa fierté devant l'engagement et la détermination des deux athlètes et leur adresse ses vives félicitations pour leur combativité.

Il réitère sa reconnaissance aux entraineurs des athlètes, et au comité exécutif de la Fédération Burkinabè de Sport pour Personnes Handicapées (FBSH), pour le sérieux et les efforts consentis dans la préparation de nos deux représentants.
Il invite tous les acteurs du sport paralympique à redoubler d'efforts dans le travail afin que les prochaines sorties soient couronnées de succès.

Vive le sport !
DCPM/MSL

Enseignement supérieur au Burkina : Swiss UNEF University dévoile ses offres de formation

$
0
0

Swiss UNEF University Burkina Faso, un établissement privé d'enseignement supérieur, est présent au pays des hommes intègres depuis deux ans. L'université est membre d'un réseau international d'universités ayant pour label « Swiss UNEF ». Les premiers responsables de ladite université ont initié un point de presse ce samedi 3 septembre 2021, à Ouagadougou, pour présenter les offres de formation qu'elle propose.

La mission principale de Swiss UNEF University Burkina Faso est de contribuer, par la qualité de son enseignement, à former des cadres et leaders qualifiés et compétents. Cet objectif est en passe d'être atteint car, en seulement deux années d'existence au Burkina, l'université a été classée deuxième meilleur établissement supérieur sur douze, avec une moyenne de 16,21, selon le dernier rapport des sorties de suivi-contrôle des Institutions privées d'enseignement supérieur (IPES).

Selon le PCA de Swiss UNEF University, l'établissement octroie des bourses d'études aux étudiants méritants.

Les premiers responsables de l'Université ont initié un point de presse ce samedi 3 septembre 2021, pour présenter les formation qu'ils donnent mais aussi décliner les avantages qu'un étudiant a, en choisissant de poursuivre ses études à Swiss UMEF University. Selon le président de son conseil d'administration, Martin Bansé, l'université est dotée d'un corps professoral de rang A, avec plus de 25 nationalités.
Swiss UNEF University intervient dans le domaine des sciences économiques et de gestion avec, en pré-spécialisation, l'économie de développement, la gestion des entreprises et organisations. « Il y a aussi la comptabilité contrôle et audit, la logistique internationale, le marketing et la communication », a énuméré le Président du conseil d'administration (PCA) de Swiss UNEF University.

Selon le directeur de Campus Globe, Hervé Halkin, partenaire de Swiss UNEF University, l'établissement propose aussi des formations en sciences juridiques, politiques et de l'administration, option droit public et privé, avec pour spécialisations le droit des affaires et le droit de l'urbanisme, entre autres.

Hervé Halkin soutient que l'université donne la possibilité de continuer les études à Genève, en Suisse, ou dans une autre université Swiss UNEF, aux mêmes tarifs qu'au Burkina Faso.

Il a assuré que tous ces domaines sont conformes au système Licence-Master-Doctorat. « A Swiss UNEF University, vous avez la possibilité de continuer vos études à Genève, en Suisse, ou dans un autre université Swiss UNEF aux mêmes tarifs qu'au Burkina Faso, avec l'appui des bourses d'études pour nos étudiants », a-t-il ajouté.

D'après le PCA de Swiss UNEF University, l'établissement a pour préoccupation le challenge de l'excellence. « C'est pourquoi elle a pour ambition d'élargir son offre de formations en faisant bénéficier à ses étudiants, des formations dans les domaines d'avenir et de résilience », a-t-il informé.
A en croire M. Bansé, l'université fournit également des stages et des emplois dans les entreprises avec lesquelles elle a une convention. A cela s'ajoute des tarifs préférentiels pour les personnes vivant avec un handicap.

Obissa Juste MIEN
Lefaso.net


Burkina Faso : « Il est très difficile de vivre en ce moment à Mansila, les populations ont faim », confie Issa BARRY, député maire de la localité

$
0
0

Les ressortissants de la commune rurale de Mansila située dans la province du Yagha au Sahel, ont rendu public le rapport final de leur assemblée générale ce dimanche 5 septembre 2021 à Ouagadougou.

Depuis février 2019, la commune de Mansila fait face à une situation sécuritaire très préoccupante du fait des agressions et attaques terroristes.

« Ciblant au départ les symboles de l'Etat, notamment les préfecture, commissariat de police, mairie, établissement d'enseignement primaire et secondaire, les groupes armés terroristes (GAT) s'en prennent de plus en plus aux populations civiles et ce depuis le 7 juin 2019 avec des exécutions de personnes ciblées », a confié Issa Barry, député maire de Mansila.

Il précise également qu'après la révolte des populations suite aux sévices corporels infligés aux femmes et l'arrivée des forces armées nationales, les terroristes ont imposé un blocus à la localité empêchant de force toute entrée et sortie des populations en plus des vivres, de même que tout produit de première nécessité.

Ce qui a par conséquent fragilisé le tissu social, déstabilisé le système éducatif et sanitaire tout en perturbant le fonctionnement normal de l'Administration.

Lefaso.net

Drame de Banlo : « La population regrette réellement l'acte commis », Momo Koko, maire de Bouroum-Bouroum

$
0
0

Quelques jours après le drame de Banlo, dans la commune de Bouroum-Bouroum, où quatre personnes ont perdu la vie, une équipe de la rédaction de Lefaso.net s'est rendue sur les lieux de la tragédie afin d'en savoir davantage sur les circonstances. Dans cet entretien, le premier responsable de la commune revient sur les faits. Momo Koko invite la population à la prudence et au respect du code de la route. L'édile de Bouroum-Bouroum annonce que d'autres mesures seront prises lors d'un conseil municipal extraordinaire prévu le 4 septembre 2021.

Lefaso.net : Depuis peu, le nom de votre commune est sur toutes les lèvres. Et la raison, c'est l'affaire du lynchage des agents du CCVA. Pouvez-vous nous dire ce qui s'est passé ?

Momo Koko : Ce drame s'est produit le vendredi 27 août 2021 aux environs de 15h, selon les dires de ceux que je suis venu trouver sur place. Moi-même je n'étais pas là. J'étais en mission à Gaoua. L'information m'est parvenue aux environs de 16h. Je suis donc venu constater. Lorsque je suis arrivé, les forces de sécurité avaient déjà fait le constat. Je suis venu trouver quelque jeunes, avec le commissaire de police et ses éléments.

Ils m'ont dit que le constat est terminé et ils étaient en train de voir comment transporter les engins endommagés à la police. J'ai ensuite voulu savoir oùétait l'enfant qui a été heurté. On m'a dit que les parents ont emmené le corps en famille pour faire les funérailles. Par la suite, j'ai demandé quels sont les occupants du véhicule. Et on m'a fait savoir que les occupants ont fui, qu'on ne les a pas retrouvés.

Voilà l'information que j'ai reçue. J'ai également observé que deux ralentisseurs en terre et en briques avaient étéérigés à la hâte, encadrant là où le corps de l'enfant était déposé. Selon ce qu'on m'a raconté, la circulation était bloquée. Je n'ai plus eu d'autres informations qui pouvaient me situer clairement sur le déroulement des évènements.

Après le départ des forces de sécurité qui avaient fait le constat, je me suis rendu dans la famille du garçonnet pour assister aux funérailles. Lorsque je quittais les funérailles, il était près de 18h30 et la nuit commençait à tomber. C'est après cela que j'ai eu l'information, par le commissaire, qu'on a retrouvé les corps des occupants du véhicule dans la nuit. Nous nous sommes rendus au petit matin là où les trois corps ont été trouvés. Ensemble, nous avons organisé l'enlèvement des corps pour la morgue de Gaoua. Voilà ce que je peux dire par rapport au drame qui est survenu.

Avez-vous reçu des informations sur l'identité des meurtriers des trois occupants de la voiture ?

Quand j'ai eu l'information que les trois corps ont été retrouvés, je me suis rendu sur les lieux au petit matin. J'ai vu la police qui avait certainement arrêté l'auteur de ce crime. Ils m'ont annoncé qu'un homme s'était déclaré comme étant l'auteur du crime et qu'il serait le grand-frère du papa de la victime. C'est ce que je sais. Maintenant, le reste se trouve entre les mains de la justice.

Qu'est-ce qui peut expliquer une telle barbarie ?

L'enfant percuté par le véhicule est décédé sur-le-champ. Ce qui a pu choquer profondément les parents, qui n'ont pas pu se maîtriser. C'est ce que je suppose. Il nous a été dit que les occupants du véhicule ont fui. Notre espoir était que quelqu'un nous informe qu'ils étaient quelque part. Ce n'est qu'après que j'ai appris la mauvaise nouvelle. Maintenant, ce qui a poussé la foule à commettre cet acte, je ne peux le dire.

Il parait que ce n'est pas la première fois que de pareils actes se produisent ici. Qu'est-ce que vous prévoyez, notamment en termes de sensibilisation, à l'endroit de vos populations ?

Il est vrai que c'est un tronçon dangereux. A l'endroit où le drame a eu lieu, il y a un bas-fond, un virage et des nids-de-poule un peu partout. Effectivement beaucoup d'accidents se produisent ici. Il avait été demandé au conseil municipal d'y implanter des ralentisseurs. Et pour cela, j'ai approché la Direction régionale des infrastructures de Gaoua.

Le directeur régional lui-même m'a dit qu'il fut un moment où il y avait trop de ralentisseurs. Même le gouverneur a soulevé le problème en son temps. Les gens posaient des ralentisseurs comme ils voulaient. Donc, négocier de nouveaux ralentisseurs était difficile. C'est ce que le directeur régional des infrastructures de Gaoua m'a dit. Ensuite, il m'a contacté pour me dire que ce qu'il peut faire, c'est de fixer une plaque d'indication, limitant les vitesses à ce tournant pour éviter les drames. C'est ce qu'il a fait.

Nous sommes venus ensemble. Avec le conseiller sur place et quelques personnes, nous avons fixé la plaque avant le virage. Voilà ce que nous avons pu faire et que le directeur régional a dit qu'il peut faire. Mais pas mettre des ralentisseurs. Il n'est pas de notre devoir de mettre des ralentisseurs sur une route nationale. Il y a des techniciens qui savent comment la route est construite.

Nous faisons régulièrement de la sensibilisation pour le respect du code de la route. Nous le faisons avec l'aide de beaucoup de partenaires. Voilà autant d'actions que nous menons dans notre commune. Mais les accidents sont imprévisibles.

A l'issue d'une rencontre avec le gouverneur de la région du Sud-Ouest le 30 août dernier, des mesures ont été annoncées. En quoi consisteront-elles ?

À ce niveau effectivement, nous avons d'abord pris des mesures pour demander aux occupants des abords des voies, surtout les commerçants, qui posent des sacs de charbon, du bois ou des boutiques, de quitter les lieux. Nous les sensibilisons dans ce sens depuis le 1er septembre. Nous avons mis tous les dispositifs en place pour pouvoir prévenir ces situations malheureuses.

Du 1er au 4 septembre, nous rencontrons les communautés coutumières, religieuses, la jeunesse, les femmes, les CVD…et nous allons boucler avec le conseil municipal qui fera certaines délibérations, afin de renforcer la surveillance et le contrôle des voies publiques.

Nous voulons amener la population à se mettre dans la tête que ce sont des actions qui ne doivent plus jamais se répéter. Nous sommes en train de voir comment nous organiser pour présenter nos condoléances aux différentes familles éplorées. En attendant, et en tant que maire, je présente mes condoléances aux différents familles éplorées. Que la terre du Burkina Faso soit légère aux âmes des disparus !

Il semble que le jour du drame, la population en voulait à votre personne. Est-ce que cela est vrai ? Si oui, pourquoi ?

Non, ce sont des ragots. Il m'a été rapporté que si le conseil municipal avait pu réaliser les ralentisseurs demandés, cela allait peut-être permettre de diminuer les accidents. Mais je n'ai pas entendu ces choses-là de mes propres oreilles. Je suis ici et personne n'en veut à ma personne.

Au regard de la gravité de l'acte, qui pourrait jouer sur la cohésion sociale, est-ce que vous êtes disposés pour accompagner la justice pour que la lumière soit faite ?

Vous-même qui êtes venus là, je ne me gêne pas pour que vous sachiez quelque chose en la matière. Si la justice a besoin de moi pour certaines informations, je les lui communiquerai si je les ai. Comme je vous l'ai dit, je n'ai pas beaucoup d'informations en dehors de ce qui m'a été rapporté. Que la justice fasse son travail pour que la lumière soit faite. En tant que premier responsable de la commune, je répondrai en cas de besoin.

Pensez-vous que la population regrette l'acte commis ?

La population regrette réellement l'acte commis. Il se peut même que ce soient des actions isolées.

Quel message avez-vous à l'endroit de vos administrés ?

J'invite tous ceux qui fréquentent les voies publiques àêtre prudents et à respecter le code la route. La population doit aussi comprendre que, lorsque de telles situations se produisent, ils doivent savoir que c'est quelque chose d'imprévu. Il faut d'abord chercher à sauver les victimes avant de penser à quoi que ce soit. Nous les invitons surtout à la retenue. Nous sommes dans un État de droit et quand des accidents arrivent, c'est à la justice d'intervenir. Donc, il n'y a pas lieu de se rendre justice.

Propos recueillis par Yidalawala Isaac Ki-Zerbo (stagiaire)
Lefaso.net

Drame de Banlo : « Les ralentisseurs à eux seuls ne pourront pas vraiment résoudre le problème des accidents », député Fiacre Kambou

$
0
0

Ce samedi 4 septembre 2021, des organisations de la société civile de la région du Sud-Ouest ont manifesté pour dénoncer le lynchage de trois agents du Centre de contrôle des véhicules automobiles (CCVA) après un accident mortel à Banlo, commune de Bouroum-Bouroum, le 27 août dernier. Ce drame a défrayé la chronique. Dans un entretien accordéà Lefaso.net deux jours avent cette manifestation, Fiacre Kambou, député de la province du Poni, évoque la nécessité de sensibiliser à la fois les usagers de la route et les populations. Il revient aussi sur quelques actions entreprises de concert avec le gouverneur et les maires de la région, pour éviter que ce type de tragédie ne se reproduise.

Lefaso.net : Comment avez-vous accueilli l'information du drame qui s'est produit dans votre province ?

Fiacre Kambou : C'est vraiment avec tristesse et amertume que nous avons appris ce qui s'est passé dans le village de Banlo. Je veux parler de l'accident mortel qui a coûté la vie à un jeune garçon de 10 ans et qui a, par la suite, conduit au lynchage des trois occupants du véhicule par la population. C'est vraiment un sentiment de colère qui nous a animé lorsque nous avons appris cette information. La mort du jeune garçon à la suite de cet accident est très regrettable.

Mais rien ne saurait justifier que les populations se soient livrées à un tel acte ignoble que nous condamnons fermement. C'est ce qui explique que mes collègues de la région du Sud-Ouest et moi avons fait une déclaration, pour non seulement condamner l'acte qui a été commis par un certain nombre d'individus de Banlo, mais aussi voir comment est-ce que, avec les forces vives de la région, nous pouvons travailler pour qu'on n'assiste plus à ce genre de drames dans notre région.

Monsieur le député, après cette déclaration, quelles autres actions sont prévues ?

À la suite de notre déclaration, nous nous sommes montrés disponibles auprès des autorités administratives, en commençant par le gouverneur du Sud-Ouest et des différents maires de la région. Nous voulons les accompagner dans tout ce qui sera entrepris comme action allant dans le sens de la gestion de cette crise et voir quels genres d'actions il faut mener pour prévenir ce type de situation à l'avenir.

C'est ce qui explique d'ailleurs que le gouverneur de la région du Sud-Ouest ait entrepris une série de rencontres avec les force vives de la région et de la province. Rencontres auxquelles nous avons eu l'occasion de participer. Nous avons montré au gouverneur notre disponibilitéà pouvoir les accompagner pour gérer cette crise et amenuiser ses effets. De ces échanges, il y a une série d'activités qui sont en train d'être organisées par l'administration.

Elles vont consister à prendre un certain nombre de mesures et un certain nombre d'actes pour éviter que le comportement des citoyens aux abords des grandes voies ne soit des causes d'accidents.
Les OSC (Organisations de la société civile, ndlr) et les forces vives également sont en train de s'organiser pour mener des actions de sensibilisation afin de pouvoir amener nos populations à un changement de comportement. Làégalement, nous allons accompagner les OSC, nous allons accompagner les maires dans tout ce qu'ils feront comme actions de sensibilisation pour mieux gérer ces situations à l'avenir.

Certains se plaignent de l'absence de ralentisseurs qui pourraient amenuiser les accidents. Selon vous, quelle est la meilleure solution ?

Je suis ressortissant de la région, je parcours le trajet depuis une quinzaine d'années, donc bien avant que le bitume ne soit posé. Nous parcourons également plusieurs axes bitumés au Burkina Faso où nous constatons la présence de ralentisseurs, surtout au niveau des grandes agglomérations, pour amener les gens à lever le pied sur l'accélérateur. Parce que nous sommes bien conscients que, au niveau des agglomérations, il y a des populations qui y vivent.

Et naturellement, il y a de l'animation. Ce qui fait qu'on assiste parfois à des accidents mortels. C'est ainsi que sur le trajet Pâ-Gaoua, vous allez constater qu'il y a un certain nombre de ralentisseurs qui contribuent effectivement àéviter beaucoup d'accidents. Mais on ne pourrait pas mettre des ralentisseurs dans tous les villages que traverse le goudron. Cela n'aurait aucun sens.

Au-delà des ralentisseurs, je pense qu'il n'y a pas mal d'actions qu'il faut mener à l'endroit de ceux qui empruntent la voie. Je veux parler des transporteurs, je veux parler des usagers particuliers qu'on doit sensibiliser au respect du code de la route. Au-delà des ralentisseurs, nous pensons que la sensibilisation des populations doit également permettre d'éviter l'implantation de lieux de commerce ou d'habitats très près des voies, parce que là aussi, ce sont des facteurs de risques d'accidents. Les ralentisseurs à eux seuls ne pourront pas vraiment résoudre le problème.

Propos recueillis par Yidalawala Isaac Ki-Zerbo (stagiaire)
Lefaso.net

Guinée Conakry : Le colonel Mamady Doumbouya renverse le régime d'Alpha Condé

$
0
0

A l'issue du coup d'Etat orchestré en cette matinée du dimanche 5 septembre 2021 contre le Président Alpha Condé, le nouvel homme fort de la Guinée en la personne de Mamady Doumbouya s'est adresséà l'ensemble des Guinéens.

« Guinéen et Guinéenne, chers compatriotes, la situation sociopolitique et économique du pays, le disfonctionnement de l'Institution républicaine, l'instrumentalisation de la Justice, le piétinement des droits des citoyens, l'irrespect des principes démocratiques, la gabegie financière, la pauvreté et la corruption endémique ont émulé l'armée républicaine de Guinée à travers le comité national de rassemblement et du développement (CNRD) à prendre ses responsabilités vis-à-vis du peuple souverain de Guinée et dans sa totalité», fait savoir Mamady Doumbouya.

Il annonce de ce fait les décisions qui suivent : « Nous avons décidé ainsi après avoir pris le Président de la république qui est actuellement avec nous, de dissoudre la Constitution en vigueur, de dissoudre les institutions ainsi que le Gouvernement »

L'ancien légionnaire de l'armée française a aussi annoncé la fermeture des frontières terrestres et aériennes.

Il appelle ses frères d'armes à l'unité afin de répondre "aux aspirations légitimes" du peuple de Guinée tout en invitant chacun d'eux à rester dans les casernes et poursuivre les activités régaliennes.

« On va pas reprendre les erreurs du passé, nous allons nous concentrer sur le développement [...] », a-t-il précisé.

Ce n'est pas la première fois qu'Alpha Condé est confrontéà une tentative de putsch. En 2011 notamment, son domicile avait été la cible d'un assaut.

Lefaso.net

Décès de ZOURE Alexis : Remerciements

$
0
0

Les grandes familles ZOURE, BAMBARA, YABRE, à Boura/ Garango, Ouagadougou, Bobo Dioulasso et Abidjan
Maître Jean Célestin ZOURE, Notaire à Ouagadougou, Maire de la Commune de Garango, ses frères et sœurs ;

Le Médecin Colonel Major Dominique ZOURE, Directeur Général de la Caisse d'assurance maladies des armées à Ouagadougou,
Grégoire ZOURE, Ingénieur de techniques de recherches à la station de recherche de Sariah,

Françoise, à la SOFIBE à Tenkodogo,
Émilienne, à la garderie populaire de Garango,
Lucie, infirmière au CMA de Pissy à Ouagadougou,
Maître Théophane Noël ZOURE, Notaire à Bobo Dioulasso,
Agnès, Enseignante à Laye ;
Leurs oncles et tantes ;

ZOURE Jérôme, Adjudant des sapeurs pompiers à la retraite à Bobo Dioulasso,
ZOURE Daogo à Dougoumato/ Bobo-Dioulasso,
ZOURE Blandine à Magourou/Garango
ZOURE Natouma Ablasséà Tanghin Ouagadougou,
ZOURE Alphonse, Officier de Police à la retraite, à Ouagadougou
ZOURE Zihayima Salamata à Tanghin Ouagadougou,

ZOURE Maana Kader, Adjudant Chef Major de l'armée à la retraite à Ouagadougou,
ZOURE Mandaogo, Déclarant en douane à Ouagadougou,
ZOURE Lamou, ZOURE Yaya, ZOURE Mansako et ZOURE Gaston à Boura,
ZOURE Ali, ZOURE Laba et ZOURE Adjaratou à Abidjan
BAMBARA Jacob, Directeur des pensions SARAH à Ouagadougou,
Les familles alliées,

- SAWADOGO à Pana/Boussouma et Yamoussokro
- DA à Kampti et Ouagadougou
- KAM à Dolo/Dédougou et Bobo-Dioulasso
- BANDAOGO à Zigla Koulpélé/Garango

- NOMBRE à Pagou/Garango
- BAYILI à Réo et Ouagadougou
- KORBEOGO à Ouagadougou et Yako
- NIKIEMA à Koudougou et Ouagadougou

Très reconnaissants de toutes vos expressions de compassion et de vos soutiens multiformes lors du rappel à Dieu le 1er Août à Garango, de leur Père, Oncle, Grand frère, Grand père et Arrière grand père,
ZOURE Alexis, Instituteur Certifié de Classe exceptionnelle à la retraite à Garango,
Vous expriment en retour leur remercîments et leur gratitude
Ils remercient particulièrement :

- La CCB saint Gabriel de Zanga/Garango
- La chorale sainte Cécile de la paroisse sacré cœur de Jésus de Garangp
- Le Ministre délégué chargé de la défense et des anciens combattants
- Le chef d'Etat-major Général des Armées
- L'ordre des notaires du Burkina Faso

- Le Président de la section régional de l'AMBF et sa délégation
- Le Président national du MBF et les députés du parti
- L'honorable député Boukaré SAMANDOULGOU du CDP
- Le préfet du département de Garango et le personnel de la préfecture
- Le Secrétaire Général de la mairie de Garango, le personnel de la mairie et la Police municipale

- Les Forces de Défenses et de Sécurité du département de Garango
- Monsieur Pierre BALIMA, représentant des anciens élèves de l'école primaire de Tenkodogo, promotion 1956-1959
- Le Grand Imam de Garango
- El hadj Abdoul Aziz ZANZE et famille depuis Riyad en Arabie Saoudite
- Les parents et amis venus de Ouagadougou et d'ailleurs

Ils croient en la compréhension de tous ceux qui n'ont pu être cités et prient le Seigneur de les combler pour leurs bienfaits.
Union de Prières.

Appel à candidatures pour le recrutement d'étudiants à l'IUFIC au titre de l'année universitaire 2021-2022

$
0
0

Le Président de l'Université Thomas SANKARA informe les travailleurs et les étudiants du recrutement d'étudiants à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2021-2022 pour les filières suivantes :

Masters professionnels (M2) en Co-diplomation avec l'Université Senghor d'Alexandrie

Management des Projets

Gestion de l'Environnement

Droit et Politiques de l'Environnement

Niveau d'accès : Master 1 ou Maîtrise. Inscription : http://senghor.refer.org

NB : Possibilité de validation des acquis professionnels au niveau de l'Université Senghor d'Alexandrie pour ces trois masters uniquement.

Masters professionnels (M1 et/ou M2)
Conseil Juridique d'Entreprises (M2)
Droit pénal et Sciences Criminelles (M2)
Executive MBA (M2)

Comptabilité– Contrôle – Audit (M1 et M2)
Développement local et Gestion des Collectivités Territoriales (M1 et M2)
Droit des Affaires et Fiscalité (M1 et M2)

Economie et Gestion des Entreprises d'Economie Sociale et Solidaire (M1 et M2)
Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (M1 et M2)
Finance – Comptabilité (M1 et M2)

Finance Quantitative et Gestion de Risques Financiers (M1 et M2)
Gestion des Ressources Humaines (M1 et M2)
Ingénierie Statistique de l'Environnement (M1 et M2)
Intelligence Economique et Développement International (M1 et M2)
Marketing et Gestion (M1 et M2)

Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (M1 et M2)
Protection et Droits de l'Enfant (M1 et M2)

Sociologie de la Santé (M1 et M2)
Niveau d'accès : Licence 3 pour les Masters de niveau 1 et M1 ou Maîtrise pour les Masters de niveau 2.

Licence professionnelle (L3)
Comptabilité– Contrôle – Audit
Finance – Comptabilité
Fiscalité
Gestion des Ressources Humaines
Marketing et Communication d'Entreprise
Protection et Droits de l'Enfant
Sciences Politiques
Sociologie de la Santé
Niveau d'accès : Bac + 2

Frais de dépôt des dossiers pour les masters et les licences : 15 000 FCFA payables à l'Agence Comptable de l'Université Thomas SANKARA
Lieu de dépôt des dossiers : Tous les jours ouvrables de 08 heures à 16 heures au secrétariat de l'IUFIC, sis à Ouaga 2000, route de Pô, 4ème tournant à droite après l'échangeur, à 300 m en face de la Clinique Edgard OUEDRAOGO.
COUTS DES FORMATIONS

Master en Co-diplomation avec l'Université Senghor d'Alexandrie
Frais de formation : 1 700 000 F CFA, payables en seule tranche ou en trois tranches avec intérêt de 350 000 F CFA dont 50% minimum pour la première tranche.

Executive MBA

Frais de formation Master : 1 700 000 F CFA, payables en trois tranches dont 50% minimum pour la première tranche.

Autres Masters et Licences
Frais de formation Master 1 : 850 000 f CFA, payables en trois tranches dont 50% minimum pour la première tranche ;

Frais de formation master 2 : 850 000 f CFA, payables en trois tranches dont 50% minimum pour la première tranche ;

Frais de formation licences : L3 : 500 000 f CFA, payables en trois tranches dont 40% minimum pour la première tranche.

Frais d'inscription : 50 000 FCFA pour les ressortissants de la zone UEMOA et 250 000 FCFA pour les étudiants hors zone UEMOA, pour chaque année d'étude (valable pour toutes les filières de formation exceptées les certificats).
NB : chaque étudiant s'engage à payer la totalité des frais de formation, quel que soit le mode de paiement

COMPOSITION DU DOSSIER PHYSIQUE POUR TOUTES LES FORMATIONS

MASTERS ET LICENCES

Une demande manuscrite timbrée à 200 f adressée au Président de l'Université Thomas SANKARA ;

Une photocopie légalisée des diplômes obtenus du Baccalauréat à la maîtrise et/ou Master, ou au diplôme demandé selon le cas. Les diplômes doivent être reconnus par le CAMES ou l'équivalent attesté par la direction des équivalences ;

Une photocopie légalisée des relevés de notes (baccalauréat et parcours intermédiaires y compris) ;

Un curriculum vitae ;

Une lettre de motivation exprimant clairement les objectifs poursuivis par le candidat ;

Une copie légalisée de CNIB ou passeport ou certificat de nationalité ;

Un extrait d'acte de naissance ou jugement supplétif d'acte de naissance ou photocopie légalisée de l'acte de naissance) ;

Un protocole de recherche précisant clairement le thème indicatif de mémoire envisagé pour les Master 2 ;

Une photocopie de la quittance de paiement après paiement des frais de dépôt des dossiers.

CALENDRIER ACADEMIQUE

Période de dépôt des dossiers :
Jeudi 15 au vendredi 30 juillet 2021 et du Lundi 06 au vendredi 24 septembre 2021

Résultats de la présélection des dossiers :
Jeudi 30 septembre 2021 (Affichage à l'IUFIC)

Entretien par filières : Jeudi 28 octobre 2021 (Affichage à l'IUFIC)

Résultats définitifs : Vendredi 19 novembre 2021 (Affichage à l'IUFIC)

Réunion de rentrée : Samedi 04 décembre 2021 à 15 heures dans les locaux de l'IUFIC.

Début des cours : Mercredi 15 décembre 2021

Inscriptions pédagogiques et administratives : Dès la disponibilité des bulletins de versement

N.B : Toutes les formations dispensées sont en présentiel et en cours du soir à partir de 17 heures.

Pour toute information complémentaire, contacter le secrétariat de l'IUFIC au 25 37 66 87 ou par mail : iufic@uts.bf ou encore consulter le site web de l'UTS : www.uts.bf

Le Président,

Pr Adjima THIOMBIANO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Chevalier de l'OIPA/CAMES

Pour contribuer à améliorer le système de santé, donnez votre avis


COURS D'ANGLAIS INTENSIFS Au Centre Américain de Langue

Droits en Santé

Appel à candidature Pour des propositions de services d'assurance médicale au Burkina Faso

$
0
0

Date d'émission : lundi 06 septembre 2021
Date/heure d'échéance des questions : 14 septembre 2021, 13h00, heure de Ouagadougou
Date/heure d'échéance de la proposition : lundi 20 septembre 2021, 13h00, heure de Ouagadougou

Le Système d'information sur la santé et l'utilisation des données dans les pays (CHISU), dirigé par JSI Research and Training Institute, Inc. et mis en œuvre par JSI Research & Training Institute, Inc. (JSI), sollicite des propositions de services d'assurance médicale au Burkina Faso (prestataires de services affiliés) pour les services médicaux ambulatoires et hospitaliers, l'assurance-vie collective et individuelle pour le personnel local du projet (environ 12 employés et environ 40 personnes à charge) situéà Aden. La période d'exécution prévue est du 1er novembre 2021 au 31 octobre 2022. Le CHISU est financé par l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et est soumis à toutes les réglementations et dispositions fédérales applicables.

Veuillez soumettre votre proposition la plus concurrentielle conformément aux instructions aux offrants et aux termes de référence. Tout contrat attribuéà la suite de cette DP sera soumis à toutes les instructions, termes de référence/spécifications, certifications, termes et conditions et clauses requises par le bailleur de fonds. Ce document de DP comprend les éléments suivants :

PARTIE A : Page de Couverture
PARTIE B : Instructions aux offrants
PARTIE C : Termes de référence
PARTIE D : Représentations et attestations
Annexe A : Conditions générales d'utilisation
Annexe B : Clauses requises par le bailleur de fonds

Toutes les propositions, demandes de renseignements et correspondances relatives à cette sollicitation doivent être adressées à l'attention de :

Système d'information sur la santé et l'utilisation des données dans les pays (CHISU)
Re : N ° de la DP : CHISUBF-2021-001
Courriel : chisu@jsi.com


En savoir plus sur ce lien Appel à candidature Pour des propositions de services d'assurance médicale au Burkina Faso


DEMANDE DE DEVIS (RFQ) d'Équipement de Technologie Informatique (TI) pour le Burkina Faso

$
0
0

RFQ NO : CHISU-2021-003

PARTIE A : PAGE DE COUVERTURE
Date d'émission : 06 septembre 2021
Date Limite Pour Les Questions : 14 septembre 2021 14h00 heure de Ouagadougou
Date D'échéance : 20 septembre 2021 14h00 heure de Ouagadougou

Demande de devis pour du Matériel Informatique

Le projet Country Health Information Systems and Data Use (CHISU) dirigé par JSI Research and Training Institute, Inc. (ci-après dénommé“JSI”) lance un appel d'offres pour la fourniture et la livraison de matériel informatique destinéàêtre utilisé au Burkina Faso, tel que décrit dans les spécification techniques ci-jointes.
CHISU est un projet financé par l'USAID qui offre une opportunité incroyable de renforcer la capacité et le leadership d'un pays dans la gestion et l'utilisation des systèmes d'information sanitaire (SIS) et des données pour améliorer les décisions fondées sur des preuves.

Pour ce faire, CHISU a l'intention de soutenir les systèmes de technologie de l'information et les données à tous les niveaux, d'instaurer une culture d'utilisation des données et de faciliter le renforcement des capacités et la gouvernance des systèmes d'information sanitaire du ministère de la santé, ce qui démontre actuellement un besoin en matériel informatique au Burkina Faso.
Cet achat de matériel informatique est financé par l'Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID) et est soumis à toutes les règles, règlementations et dispositions fédérales applicables.

Veuillez soumettre votre offre la plus compétitive conformément aux instructions ci-jointes, avec toutes les certifications requises. Tout bon de commande émis à la suite de cet appel d'offres sera soumis à l'ensemble des instructions, certifications, termes et conditions, et spécifications inclus dans cet appel d'offres.

Ce document n'est qu'une demande de devis et n'oblige en aucun cas JSI à procéder à une attribution. Les prix attribués à la suite de cet appel d'offres seront soumis aux termes et conditions décrits dans le présent document.
Tout prix attribuéà la suite de cette RFQ sera soumis à toutes les instructions, spécifications de produits, certification et conditions générales incluses dans cette RFQ. Ce document de RFQ comprend les parties suivantes :

PARTIE A : Page de Couverture
PARTIE B : Instructions
PARTIE C : Spécifications du produit
PARTIE D : Liste des exigences et formulaire de devis (excel) PARTIE E : Certifications

JSI s'engage à respecter les normes d'éthique et d'intégrité les plus élevées en matière de passation de marchés. JSI a une tolérance zéro pour la fraude et interdit strictement les potsde-vin, les dessous de table, les gratifications et tout autre cadeau en nature ou sous forme monétaire. JSI interdit aussi strictement la collusion (truquage des offres) entre les fournisseurs et entre les fournisseurs et le personnel de JSI. JSI sélectionne les fournisseurs sur la base de leur mérite et n'engage que ceux qui font preuve d'une éthique commerciale solide.

Les vendeurs ne doivent pas participer au truquage des offres ou tenter d'offrir des honoraires, des commissions, des cadeaux, des gratifications ou toute autre compensation en nature ou sous forme monétaire aux employés de JSI. Les vendeurs qui agissent de la sorte seront disqualifiés et ne pourront plus faire affaire avec JSI. En outre, JSI dispose d'une politique en matière de conflits d'intérêts qui exige du personnel avec un fournisseur et, si nécessaire, qu'il s'abstienne de participer à un marché impliquant ce fournisseur. Si, à tout moment, votre organisation craint qu'un employé ait enfreint la politique de JSI, vous pouvez soumettre un rapport via la ligne d'assistance sur le code de conduite de JSI à l'adresse suivante : www.jsi.ethicspoint.com.

PARTIE B : INSTRUCTIONS

A. Définitions :
Offrant : l'organisation ou l'entreprise qui fournit des devis pour les biens ou les services demandés dans le cadre de la présente RFQ.
Acheteur : JSI Research and Training Institute, Inc. – Ci-après dénommé JSI
B. Date Limite de Soumission
Toutes les propositions, les demandes de renseignements et la correspondance relatives à cette sollicitation ainsi que la soumission des offres, doivent être clairement référencées “RFQ No : CHISU-37710.005” et peuvent être soumises en format électronique par courriel à chisu@jsi.com.

Veuillez soumettre votre offre la plus compétitive conformément aux instructions et aux spécifications du produit avant le 20 septembre à 14h00 heure de Ouagadougou.

Les questions et les offres tardives ne seront pas acceptées ou prises en considération.

C. Questions :
CHISU répondra à toutes les questions reçues au plus tard le 14 septembre 2021 à 14h00 et partagera les réponses avec tous les offrants potentiels. La (les) question(s) et la (les) réponse(s) seront envoyées à tous les offrants potentiels qui ont exprimé leur intérêt pour la RFQ avant le 16 septembre 2021 14h00.

D. Exigences de la RFQ :
1. Exigences Générales :
i. Les Vendeurs peuvent utiliser le format de la Partie D pour fournir un coût unitaire à prix fixe pour chaque article énuméré.
ii. Fournir une déclaration sur la façon dont les biens seront livrés et s'il y a un coût associéà la livraison. Ceci doit être documenté dans la Partie D.
iii. Les Soumissions doivent inclure, au minimum, toutes les exigences et spécifications énumérées dans les Spécifications du Produit, Partie C. iv. Conditions de Garantie. La garantie doit être applicable et valable en Ethiopie. Cela doit inclure le détail du service pendant la période de garantie.

v. Délai de Livraison : Nombre de semaines pour livrer les produits après que la commande a été passée. Veuillez fournir un délai de livraison réaliste.
vi. Source/Nationalité : Tous les biens et services offerts en réponse à la présente demande de propositions et aux futures demandes de propositions doivent satisfaire aux exigences en matière de source et de nationalité, conformément au Code des Règlements Fédéraux des États-Unis, 22 CFR 228. Les biens doivent être produits dans n'importe quel pays à l'exception de Cuba, de l'Iran, de l'Irak, du Laos, de la Libye, de la Corée du Nord et de la Syrie.

2. Exigences Commerciales et Autres Exigences Administratives :
i. Le Vendeur devra livrer les marchandises à Ouagadougou, au Burkina Faso.
ii. Validité de l'offre : Les prix proposés doivent être valables pour un minimum de 120 jours civils à compter de la date limite de réception des offres. iii. Les Offrants doivent également confirmer leur volonté de travailler avec les conditions générales standard de JSI en certifiant dans la Partie D.
iv. L'Offrant doit se conformer aux ‘Dispositions Standard Applicables de l'USAID'.
v. Les Offrants doivent être prêts à fournir un profil d'entreprise et à signer les certifications de l'USAID et de JSI au cas où ils seraient sélectionnés pour l'attribution du contrat. Ces documents peuvent être consultés sur le site https://www.usaid.gov/sites/default/files/documents/1868/303mav.pdf pour être examinés avant l'attribution du marché.

E. Attribution :
JSI a l'intention d'émettre un ou plusieurs bons de commande à prix fixe à un ou plusieurs fournisseurs qui répondent le mieux aux critères spécifiés dans cet appel d'offres et qui sont considérés comme des fournisseurs responsables et éligibles pour les articles spécifiés.

Ce document est une demande de devis uniquement, et n'oblige en aucun cas JSI ou son donneur d'ordre à présélectionner ou à faire un quelconque prix. JSI peut rejeter tout ou partie des réponses ou annuler le processus de pré-qualification.

F. Critères d'Évaluation et de Sélection :
Les devis feront l'objet d'un examen préliminaire pour vérifier s'ils sont complets et conformes aux exigences de base. Les offres doivent être soumises à temps et répondre à toutes les exigences énoncées à la Section D ci-dessus. Les devis qui ne répondent pas à ces exigences peuvent ne pas être pris en considération.
JSI évaluera les devis conformes sur la base de la "meilleure valeur", en tenant compte d'une variété de facteurs, y compris, mais sans s'y limiter, la conformité aux spécifications requises, l'acceptabilité technique du produit offert, le prix, le délai d'exécution, le délai de livraison et les performances passées.

G. Conditions de paiement
Le cycle de paiement de JSI est de 30 jours nets à compter de la réception des biens/services, de l'inspection et de l'acceptation des biens/services conformes aux conditions de l'adjudication et de la réception de la facture du vendeur. Une coopération totale avec JSI dans le respect des termes et conditions de paiement sera considérée avec la plus grande attention.

H. Frais encourus :
JSI n'est pas responsable des coûts encourus par les offrants lors de la préparation, de la soumission ou de la négociation d'un prix pour cette RFQ. Les coûts sont uniquement la responsabilité de l'Offrant.

I. Modifications :
JSI se réserve le droit, à sa seule discrétion, de modifier la demande, de modifier le processus de sélection, de modifier ou d'amender les spécifications et l'étendue des travaux spécifiés dans cette RFQ.

J. Règlement Anti-Huawei/ZTE
Les Parties figurant sur la liste du System for Award Management (SAM)
(https://www.sam.gov) des entités exclues de l'octroi de subventions fédérales pour les "équipements ou services de télécommunications couverts", y compris Huawei Technologies Company et ZTE Corporation, ainsi que toutes les filiales ou sociétés affiliées de ces entités, sont des sources interdites pour ce marché. L'offrant ne peut pas proposer : 1) des équipements ou des services produits ou fournis par ces parties, ou : 2) des équipements ou des services qui incorporent des composants essentiels produits par ces parties.

PARTIE C : SPÉCIFICATIONS ET EXIGENCES DU PRODUIT
Description du produit
Fourniture et livraison d'´Equipement de Technologie de l'Information

Modems = 40 unités


Vie syndicale : Bientôt des actions pour remédier aux difficultés rencontrées par les centres de formation professionnelle

$
0
0

Le Syndicat national des travailleurs de la formation professionnelle (SYNTRAFP) a organisé sa première conférence de presse ce samedi 4 septembre 2021, à Ouagadougou. Ce nouveau syndicat, qui a vu le jour officiellement le 6 mai dernier, entend défendre les intérêts de ses membres.

Né en mai dernier, le Syndicat national des travailleurs de la formation professionnelle (SYNTRAFP) regroupe les travailleurs relevant du secteur de la formation professionnelle des structures centrales et déconcentrées, des structures rattachées telles que le Centre d'évaluation et de formation professionnelle de Ouagadougou (CEFPO), le Centre de formation professionnelle de référence de Ziniaré (CFPRZ), le Centre de formation professionnelle industrielle de Bobo-Dioulasso (CFPIB) et l'Agence nationale de la formation professionnelle (ANFP) à travers ses treize centres régionaux et plus de douze centres provinciaux et deux centres départementaux.

Le SYNTRAFP souhaite contribuer à la formation syndicale et professionnelle de ses membres dans le but de participer à la lutte de la nation burkinabè pour un renforcement de la démocratie et du vivre-ensemble.

Pour ce faire, ce nouveau syndicat s'est fixé comme objectifs la promotion de la formation professionnelle de qualité, la lutte pour l'amélioration des conditions de travail de ses membres pour une véritable démocratisation de la formation professionnelle, la lutte pour la sauvegarde et l'accroissement des droits des travailleurs et de leurs libertés syndicale et démocratique, le rapprochement de tous les acteurs de la formation professionnelle ainsi que la collaboration avec les autres organisations syndicales des travailleurs, etc.

Des hommes et femmes de médias

Selon le secrétaire général du SYNTRAFP, Mathieu Roger Loada, ce syndicat a vu le jour dans l'optique de soutenir la formation professionnelle au Burkina.
« Le SYNTRAFP a été créé dans le but d'apporter un tant soit peu sa contribution à la formation professionnelle », a-t-il laissé entendre.

Roger Loada a affirmé que le centre professionnel dans lequel il exerce rencontre d'énormes difficultés. En effet, selon lui, le centre manque de matière d'œuvre, sans compter les difficultés de ressources humaines. Il a aussi évoqué l'inégalité de traitement des ressources, d'un centre à l'autre. Ils entendent donc remédier à toutes ces difficultés.

Le bureau exécutif national du SYNTRAFP compte 17 membres. Les membres du syndicat entendent, dans les plus brefs délais, entreprendre des actions pour remédier aux difficultés rencontrées par les centres de formation professionnelle du Burkina.

Patricia Coulibaly (stagiaire)
Lefaso.net

Viewing all 86294 articles
Browse latest View live
<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>