Au Burkina Faso les journalistes des médias publics subissent des pressions de leurs autorités de tutelle surtout quand il s'agit de traiter de l'information émanant de l'opposition politique ou des syndicats. La goûte d'eau qui a fait déborder le vase serait la couverture de la marche de l'opposition contre le sénat le 29 juin 2013 dont l'élément du reporter aurait été"charcuté" par les responsables du ministère de la communication. Le ministre Alain Edouard Traoré nie en bloc, les journalistes campent sur leur position. Dans ce reportage, les deux camps s'affrontent avec arguments et colère, un expert en communication et journalisme éclaire le lecteur
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